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Visite d'une ex...
Datte: 06/07/2018, Catégories: Mature, Première fois Auteur: HagenRagnard, Source: xHamster
... Je lui quémandais une nouvelle fois de ne pas aller plus loin. Jean se releva et pendant un court instant j'ai pensé qu’il m’écouterait mais il n’en fit rien. Je le sentis poser son gland à l’entrée de mon anus trempé de bave. Il l’enfonça petit à petit tandis que j’étais partagé entre la douleur et le plaisir ! Je me sentais à sa complète merci et je ne pouvais rien faire pour me libérer. Du moins, je ne voulais rien faire. Je sentis son pieu m'investir millimètre par millimètre. J’essayais de me détendre pour faciliter le passage de son engin. Je parvins tant bien que mal à hisser ma jambe sur un meuble de la cuisine pour essayer d’écarter au maximum mon orifice. Cette opération fut une victoire car Jean trouva plus de faciliter pour pénétrer le reste de sa queue dans mon petit cul. Une fois complètement en moi, Jean resta immobile. Je sentis son sexe se durcir encore et mon anus se détendre peu à peu. Jean était doux et méticuleux. Il entama de courts et lents allers-retours tandis que je grimaçais de la douleur divine qu’il m’infligeait. Dieu que c'était bon !!! Sous l’effet du plaisir, je me surpris à glisser ma main entre mes cuisses et caresser mon clitoris. Sentant une nouvelle jouissance monter en moi, Jean accéléra le rythme tout en restant mesuré dans ses coups de reins. Je remis ma jambe à terre et Jean commença alors des allers-retours plus puissants. Je ne pouvais m’empêcher de crier de plaisir. Jamais je n’avais ressenti une telle envie. J'avais envie, ...
... envie qu'il continue. J'avoue que pour rien au monde, je n'avais envie qu'il arrête. Je me suis sentie relayée au rang d’objet, prisonnière de ses désirs et de ses volontés. Ses mains étreignaient mes hanches tandis qu’il labourait de plus en plus mon petit trou. Je le sentais quasiment me soulever à chacun de ses impétueux coups de reins. Mais dieu qu'il me faisait du bien. Je me dressais sur la pointe des pieds et subissais de plein fouet son œuvre. Me tirant vers lui violemment et de toutes ses forces pour m’empaler sur sa bite, Jean finit par déchirer ma manche et ma main se libéra. Jean s’arrêta brusquement. Je me retournais et le fixais dans les yeux. Je sentis la peur le gagner maintenant que j’étais libérée de mon entrave. Il devait penser que j’allais me retirer et lui en mettre une mais la seule chose que je pus faire fut de rapprocher mon bassin du sien, m’empalant ainsi sur sa queue, en lui susurrant : - Continue. Tu es si bon... Il recommença, incertain, à me sodomiser. Maintenant que ma main était libre je pouvais prendre appui sur le rebord de l’évier et jouer de mon bassin pour l’exciter encore plus et lui donner un spectacle dont il se souviendrait toute sa vie. Gardant son sexe en moi, je me relevais vers lui. Mon dos me faisait mal mais l’excitation me fit rapidement oublier ces longs moments penchés sur l’évier. J’arquais mon dos pour que sa prise sur moi soit plus facile et bandante. Nous restâmes un instant comme cela. Bizarrement Jean semblait ...