1. Cat - Toujours


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Anal Hardcore, Auteur: AnonHorse, Source: xHamster

    Je me rends compte de la chance que j’ai eu avec le cul, en y repensant. Les femmes que j’ai rencontrées étaient certaines de ce qu’elles voulaient et savaient le dire, à des degrés variables. Rendez-vous compte de l’importance que ça a : le sexe décomplexé est une des clés d’une vie heureuse, et quand il n’y a aucune ambiguïté sur les désirs de l’un et de l’autre, tellement de limites peuvent être transcendées.
    
    Je me souviens de mon été chez les parents de Cat, à la fin de notre premier semestre. Ils nous donnaient une marge à proprement parler incroyable, et quinze ans plus tard je m’aperçois de l’effort que ça leur a demandé. Leur fille hébergeait son mec dans sa chambre, sous leur toit. Ils n’avaient même pas à se poser la question : ils savaient que nous nous envoyions en l’air.
    
    C’était excitant tout de même, nous pensions le faire à leur nez et à leur barbe. Nous tentions de faire le moins de bruit possible, tout en nous donnant un maximum de plaisir. On s’explorait, on se disait des choses sales, on se désirait. A ce stade-ci, je me sentais comme un dieu du cul, tellement elle en redemandait.
    
    Je ne m’apercevais pas que ce n’était que partiellement de ma faute. Grand maximum, 50% de sa gourmandise était de ma faute. J’étais un accessoire dans l’exploration de ses sens, et j’avais l’esprit aussi pervers qu’elle, et j’en étais devenu un allié précieux. Un jour, ses parents nous avaient laissé la maison et il allait de soi que nous allions baiser dans toutes ...
    ... les pièces. Je ne comptais plus les orgasmes, je ne comptais plus les sodomies, je me souviens surtout de la chambre de ses parents.
    
    Elle était vêtue de sa robe de chambre, et rien d’autre. Ses seins lourds se dessinaient à travers son peignoir, et alors que nous montions les escaliers vers le dernier endroit à salir de la maison, son cul se dessinait. Je (re) durcissait à l’idée désormais très claire de ce que j’allais voir, et alors que nous poussions la porte ma main était déjà logée entre ses jambes par-derrière, et je jouais de mes doigts sur ses orifices. L’idée me traversa la tête que j’étais en train de l’att****r comme une caisse de bière, et je rigolai doucement alors qu’elle ralentissait face à ce geste, attrapant un des montants du lit pour se stabiliser et m’offrir de nouveau son corps.
    
    « Je me sens comme une salope, » me dit-elle. Je ne savais pas comment lui répondre. Devais-je encourager ça ? « Je suis tellement une grosse pute. » gémit-elle. Son ton contredisait ses propos. Je continuais, muet.
    
    « Traite-moi comme une pute. Baise-moi fort. Utilise mes trous. » Dit-elle sans hésitation. Elle se saisit de mon poignet et le tirait vers son corps, alors qu’elle montait à quatre pattes sur le lit. Je me focalisais sur son cul, et rentrait un doigt en plus. Malgré le nombre de sodomies de la journée, elle était redevenue serrée. Elle gémit à gorge déployée, et fouetta son dos de ses cheveux. Je lui attrapais les cheveux pour les tirer, et elle recula ...
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