1. Par les cornes (1)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: 666Forge, Source: Xstory

    ... se lève et me porte, je l’embrasse, ses mains tiennent mes fesses, il doit être fort. Si fort, je ressens sa puissance, il coule encore dans mes veines à chaque caresse. Il me pose sur le lit délicatement et son visage s’enfouit dans mon cou où il passe sa langue, cela me chatouille, mais cela me tue. Sa main glisse sur mes cuisses, mais il ne le fait pas encore. Pourquoi ?? Je veux plus. Il passe, il remonte sa main, non ! Pourquoi me faites-vous cela ? Je me sens coupable, d’en vouloir plus, trop.
    
    — Il me faut plus, moi aussi...
    
    De quoi parle-t-il ? Pourquoi est-ce que je demande et est-ce que je sais ? J’étends mes bras, de part et d’autre du lit, ouvert, il me regarde, son regard paraît satisfait. Sa bouche m’appelle, je ne peux bouger. Je voudrais...
    
    — Dis mon nom...
    
    — Je, je ne le connais pas...
    
    — Si...
    
    Je n’oserais jamais. Ses lèvres murmurent, doucement. J’entends, oui, je peux l’entendre, mais jamais ma bouche ne saura le répéter. Ai-je, tout de même, rempli ma part du marché ? Non ?. Je ne le pense même pas.
    
    — Tu en souffriras pour l’éternité...
    
    Il me regarde avec un air gourmand. Sois mon sang, viens à moi, Ange. Il enlève sa chemise, le vêtement noir, l’espace d’un instant, et à cause de la buée de mes yeux, il fait illusion, qu’il déploie des ailes de son dos.
    
    Il est...
    
    Majestueux, le plus beau de tous.
    
    Je suis figée, de peur, de désir ardent. Il contrôle tout désormais. Si ce n’était pas déjà le cas, là, j’en suis certaine. Mon ...
    ... corps lui appartient, mais pourquoi n’en a-t-il pas encore fait ce que je pensais ? Pour me faire souffrir. Il me tente quand je ne veux pas, il me frôle quand je le veux, il me trouve quand je me cache de lui, c’est une souffrance constante. Son torse nu dont la respiration le rend puissant à chaque bouffée d’air me fait un certain effet, je le contemple, il est là pour être contemplé. Ses muscles bandés sont taillés comme dans une statue, certainement la plus belle statue que jamais personne ne devrait contempler. Il ne m’embrasse plus. Et sa douceur, où est-elle partie ? Il met sa main entre mes jambes, mon Dieu, je suis trempée !
    
    — Arrête, dis-le mien.
    
    Non, j’ai peur. Il enfile un à un ses doigts, je tressaille. Il me regarde, ses yeux sont dans les miens, parfois je ne peux même pas tenir le regard, je gémis en regardant à droite. C’est si mal. Pourquoi ne m’embrassez-vous pas ? Vous êtes désireux de me voir gênée, sans pouvoir me cacher dans votre cou. Je le sais. Il enfonce ses doigts plus profonds, et le va-et-vient est lent, mais puissant, la sensation me plaque littéralement, tellement que je sens mon dos vouloir se plier dans l’autre sens, tout mon corps est attiré à lui, je croise son regard, il me dévore déjà. Il touche des endroits sensibles, il le sait à la seconde où il le fait, comme si mon corps était un puzzle dont il connaissait toutes les pièces. Je veux plus.
    
    — Donne-moi ce que je veux, dit-il en ouvrant, en ouvrant...!
    
    Non, non ! Il m’attrape ...
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