1. Philippe


    Datte: 05/07/2018, Catégories: fh, couple, grosseins, Oral pénétratio, confession, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... le gros mot !
    — Nichons, nénés, nibards, miches, lolos, pare-chocs, roberts, balloches, doudounes, montgolfières, mappemondes, flotteurs, fais ton choix !
    — Ma femme a du vocabulaire !
    
    Je m’empare de son sexe bien dur, ce qu’il apprécie grandement. J’énumère :
    
    — Phallus, pénis, queue, tube, tige, mandrin, colonne, bite, braquemart, et j’en ai d’autres…
    — Il y en a un peu moins, cette fois-ci !
    — Je suis quand même une femme respectable !
    — Dans ce cas, tu tiens quoi dans ta main ?
    — Ça ? Ce truc-là ? C’est à moi, ça m’appartient !
    — Ah oui ? Prouve-le-moi !
    — D’accord !
    
    Et je me pense sur son sexe pour y déposer un petit baiser bien mouillé qui fait frémir d’aise son propriétaire. L’instant d’après, j’avale une bonne partie de sa bite pour commencer une fellation dont il se souviendra longtemps ! Du moins, je l’espère vivement !
    
    Son gland turgescent laisse déjà échapper quelques gouttes que je goûte par petites lapées. J’avais presque oublié que ça pouvait être bon de sucer son mâle ! Mon corps s’embrase, ça fait si longtemps que je n’ai plus fait l’amour, et je constate que ça m’a manqué. Je me sens toute chaude, brûlante, incandescente.
    
    — C’est très bon ! Oui très bon ! Continue comme ça ! dit-il en me caressant les cheveux.
    
    Osera-t-il me dire par la suite des mots plus crus ? Je me le demande. Pour lui indiquer le chemin sans rien lui dire, je délaisse momentanément sa queue, décidant de changer de tactique en venant lui titiller les boules du ...
    ... bout de ma langue. Celles-ci frémissent sous cette caresse audacieuse et visiblement, mon homme aime ça ! Je l’entends soupirer d’aise !
    
    — Eh bé ! Tu te déchaînes, petite vicieuse !
    
    La température commence à monter, j’espérais plus cru, mais c’est un bon début. Excitée, je capture fermement sa verge d’une main, tandis que du bout des doigts de mon autre main, je caresse délicatement son gland devenu luisant de ma salive. Je regarde mon homme droit dans les yeux, son regard est luisant, comme le mien ; je distingue même comme une pointe de surprise, car je ne l’ai pas trop habitué à ce que je prenne ce genre d’initiative. Ce gland luisant, mes doigts qui emprisonnent sa tige palpitante, le regard de mon homme, tout ceci m’excite, me chamboule le ventre et la chatte.
    
    Je me jette à l’eau :
    
    — Tu peux me dire des cochonneries, tu sais…
    — Tu es décidément une grosse cochonne !
    
    Je fais la moue ; il rétorque alors :
    
    — Mais je n’en espérais pas moins d’une belle salope comme toi !
    
    Je lui réponds par un sourire radieux. Puis, doucement, je commence à branle cette bite, glissant mes doigts sur sa peau si fine. Quelques gouttes s’évadent, je les lèche avec application. Oh que j’ai envie qu’il gicle dans ma bouche.
    
    — Oui, oui, comme ça, sacrée putain ! Oui !
    
    Pour toute réponse, ouvrant largement mes lèvres, j’enfourne sa belle bite. Elle est si bonne à déguster, j’ai plein de temps à rattraper ! ! Je l’avale posément, je me mets à le pomper, j’enfonce cette bonne ...