1. Épanouissement sexuel


    Datte: 05/07/2018, Catégories: f, fh, ff, hplusag, hagé, nympho, sales, jardin, froid, collection, noculotte, odeurs, Masturbation entreseins, Oral 69, pénétratio, jeu, uro, gifle, confession, québec, occasion, fbi, Auteur: Jacinthe, Source: Revebebe

    ... l’aise dans de telles situations. Pourquoi je parle de lui en particulier ? Vous allez voir, petits coquins ! J’étais celle à laquelle il passait le plus souvent, me touchant les mains et me faisant des commentaires désagréables.
    
    Alors, vint un jour où il oublia son portefeuille à ma caisse. Évidemment, les filles, on se dit « bien fait pour lui ! » et on ne l’a pas dit à notre supérieur, pensant que c’est bien tout ce qu’il méritait.
    
    Par contre, avec mon grand cœur, je me sentais tout de même coupable. Alors, en arrivant chez moi, j’ai fouillé dans le portefeuille que j’avais ramené, et j’ai trouvé son numéro de téléphone. Sa voix râleuse me répondit. Je me suis présentée et je lui ai expliqué la situation. Il me dit qu’il ne pourrait pas venir le chercher parce qu’il était seul et qu’il n’avait pas d’autre argent que dans son portefeuille et qu’il devait prendre l’autobus pour venir le chercher. Il me demanda si je pourrais avoir l’amabilité d’aller lui porter. J’ai accepté à contrecœur.
    
    J’y allais le lendemain matin, pendant ma journée de congé. (Je ne vais plus à l’école présentement et je dois payer mon appartement seule.) La veille, durant le reste de la soirée, j’ai grillé un paquet de cigarette complet tant j’étais anxieuse de me rendre là-bas. Je craignais d’avoir à me fâcher s’il tentait de me toucher.
    
    J’ai donc mis mon manteau d’hiver après m’être habillée avec du vieux linge usagé de l’épicerie pour faire à croire que je travaillais bientôt et j’ai ...
    ... pris l’autobus. Ce n’était pas si loin, en fait c’était à peine à dix minutes de marche.
    
    Je suis arrivée, j’ai sonné. Il m’a fait débarrer la porte de son bloc d’appartement et ensuite m’a ouvert la porte de chez lui.
    
    Ça sentait bizarre, ce n’était pas un endroit très propre, autant l’immeuble que l’appartement. Il était en robe de chambre qui semblait sale, elle aussi. Il ne devait pas se laver souvent, ni laver ses vêtements, et ça sentait !
    
    Je lui ai donc rendu son portefeuille et j’ai dit que je devais partir pour aller travailler. Il sourit alors, montrant ses dents jaunes et cariées, me disant qu’il m’avait entendu hier dire que j’étais en congé aujourd’hui et qu’il ne fallait pas être gênée : il ne voulait que m’offrir un café.
    
    À contrecœur, j’ai accepté. Il m’offrit une cigarette, je l’allumai immédiatement et pris une bouffée qui me fit énormément de bien !
    
    Il avait en fait 73 ans et n’avait plus de famille depuis la mort de sa femme, il y avait quatre ans. Il s’était débarrassé de sa maison et avait loué cet appartement. Il commença alors à nouveau le même jeu qu’aux caisses, me disant que j’étais un beau bébé. Évidemment je me sentais de nouveau mal à l’aise, mais là, on n’était plus au magasin, mais chez lui.
    
    Il vint donc me flatter les épaules, je me dégageai tranquillement, mais il me les repris et se permit même de se mettre à me malaxer les seins ! Je lui ai demandé de me lâcher, mais il me dit de me taire, qu’il était sûr que j’aimais ça. Il me ...
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