Le hasard fait bien les choses - Histoires de Sexe

Le hasard fait bien les choses

... qui laisse admirer ses jambes jusqu’à mi-cuisses. Elle bâille, s’étire langoureusement en levant les bras, faisant involontairement saillir sa poitrine orgueilleuse dont les pointes dressées marquent le fin tissu.

— Bonjour Kris… As-tu bien dormi ? demande mon beau père.
— Oh oui ! Comme une marmotte, répondit Kris en se frottant les yeux. Je boirais bien un petit café avant de prendre ma douche et de redescendre déjeuner. Alain est déjà parti ?
— Oui, il a rapporté des croissants, m’a demandé de te préparer le petit déjeuner. Il est au port à attendre le retour des bateaux ; il ne pense pas rentrer avant midi. Ta mère est au fitness jusqu’à onze heures. Tu as tout ton temps pour te doucher ; je garde le café au chaud.
— Merci, tu es un ange ! Allez, je redescends dans un moment. À tout de suite !

Elle disparaît de ma vue, mon beau-père prend son journal. Pour moi, c’est la pause ; je recule vers le coin du jardin et allume une cigarette. De mon emplacement, je peux tout à loisir attendre le retour de Kris : sûr que mon beau-père ne peut m’apercevoir. Enfin, Kris redescend ! Coiffée, fraîche et souriante, elle a troqué son tee-shirt contre un court peignoir de bain qui a bien du mal à masquer le galbe de ses cuisses… Sans parler du haut ! D’autant qu’elle ne semble pas faire d’efforts particuliers pour se soustraire aux regards de mon beau-père.

Je rejoins en silence mon poste de guet. J’ai vraiment une vue imprenable sur toute la véranda ! Et sur Kris, qui ...

... s’assied de profil par rapport à moi tandis que mon beau-père s’éloigne vers la cuisine pour revenir, la cafetière à la main. Il sert Kris lentement ; je surprends ses regards qui plongent dans l’échancrure du peignoir… Kris croque allègrement un croissant, boit à petite gorgées son café puis s’étire langoureusement en souriant tandis que mon beau-père débarrasse la table. Elle disparaît un instant dans la cuisine. Revenant avec un torchon à la main, elle se penche sur la table pour en essuyer les miettes. Face à elle, une nouvelle fois je vois les yeux de mon beau-père plonger dans le peignoir qui bâille largement sur les seins nus de mon amour. Kris se rend compte de sa curiosité mais ne fait rien pour se soustraire aux regards et, en souriant, dit :

— Vilain curieux, tu n’as pas honte ? Ne profite pas que nous soyons seuls pour abuser du spectacle, surtout de ta belle-fille… Sinon je vais tout raconter à ma mère !
— Tu n’oserais pas… Et je ne fais que regarder car j’ai gardé un souvenir impérissable du rangement des cartons chez vous la dernière fois. Tu es vraiment toujours aussi belle et attirante ! Et tu le sais, tu en uses et en abuses… !
— Coquin ! répliqua Kris en riant, toujours penchée sur la table.

Elle allonge le bras pour terminer d’essuyer la nappe, laissant son peignoir s’ouvrir encore un peu plus. Cette fois, ses seins libres apparaissent en totalité, oscillant doucement dans son mouvement, comme deux beaux fruits mûrs, lourds et fermes, prêts à être ...