1. Police polissonne (36)


    Datte: 28/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... comme une fontaine.
    
    Chloé vaincue répond :
    
    — Mais que dois-je lui faire ?
    
    — Tout ce que je te dirais de faire.
    
    — Et si je refuse ?
    
    — Je te fouetterai jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter. Je vais te faire découvrir le plaisir dans la souffrance.
    
    — Tu es folle, tu ne vas pas faire ça.
    
    — Si, et tu ne vas pas le regretter, alors tu vas faire tout ce que je te dirais de faire, lui répond Sonia sur un ton sec et autoritaire.
    
    Chloé est tout à coup traversée par un sentiment très étrange. La soumission fait partie de l’un de ses multiples fantasmes. Ils animent souvent ses nuits et parfois ses journées. Régulièrement elle s’imagine dans des situations délicates comme ce que lui est arrivé dans l’ascenseur, mais plus encore. Parfois attachée et traînée nue dans un bois avec des pinces aux tétons qui lui meurtrissent les chaires, puis obligée de courir nue dans ce même bois avec des chiens qui la rattrape et la jettent dans la boue. Puis les chasseurs arrivent, sans fusil mais la bite à la main et la baise à tour de rôle, comme une bête, et finissent par lui éjaculer dessus en la recouvrant d’un mélange de sperme et de boue.
    
    Partagée entre le fouet qu’elle redoute, l’envie de jouir comme jamais elle la fait jusqu’à présent et obéir aveuglément à Sonia qui est capable de l’envoûter au premier regard ; elle bât en retraite et capitule :
    
    — Alors, j’accepte.
    
    — Bien et tu finiras par me demander de te fouetter, tu verras.
    
    — Sonia, je ferais ce que tu ...
    ... veux ; je voudrais tant jouir avec force, me faire emporter dans ces plaisirs étranges. Quoi que tu me demandes, je le ferai.
    
    — Alors va choisir deux pinces à seins.
    
    — C’est pour qui ? s’inquiète-elle.
    
    — Ça, tu le sauras quand le moment sera venu.
    
    Elle s’approche du lit, repère les jouets qui comportent, en plus d’une pince à la forme bizarre, un poids plus ou moins gros. Elle hésite, car un éclair lui traverse l’esprit :
    
    « Et si c’était pour moi ? »
    
    La tentation de prendre les plus grosses pour Bob est grande, mais si elles lui sont destinées ; les petites seront largement suffisantes. Ne voulant pas faire sa caguette, elle ferme les yeux, mélange les jouets de la main gauche et de la main droite en attrape deux. Sonia s’amuse de la situation car elle sait à qui sont destinées les pinces, elle admire l’audace de Chloé qui se retourne et présente les pinces et leur poids de deux cents grammes chacune à Sonia.
    
    — Quel courage tu as Chloé, car elles sont pour toi ; mets-les ! ordonne-t-elle d’un ton sec.
    
    Chloé regrette son choix, mais ce qui est dit, est dit. Elle prend la première pince, l’ouvre ; la force qu’elle doit exercer pour les ouvrir lui laisse présager que la douleur va être vive. En effet dès qu’elle laisse les pinces se resserrer la morsure est à la limite du supportable, même si elle ne crie pas ; des larmes coulent le long de ses joues. Sonia qui a pitié d’elle lui enlève les engins de torture.
    
    — Tiens, mets-les à notre esclave ; lui va ...
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