1. Un weekend bien chargé à décharger... (8)


    Datte: 05/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: jjc, Source: Xstory

    ... divaguer. Toute cette journée me semblait totalement folle. Je ne pouvais plus me convaincre que seules l’improvisation et notre soif de baise étaient à l’origine de cette orgie uro-scato. Bon, mon ex avait parlé et bien parlé à sa sœur de nos perversions communes. Mais de là à ce que sa propre sœur et la collègue de sa sœur "comme par hasard" aient les mêmes déviances... c’était trop pour des coïncidences ! Non, il y avait sûrement un plan derrière tout ça... Mais lequel ?! Et cela me fit penser aux raisons de notre divorce, alors qu’on avait les mêmes passions scabreuses mon ex et moi.
    
    Un matin, elle me l’avait annoncé "Je vais te quitter !". Au début, j’avais pris ça à la rigolade mais clairement, elle ne rigolait pas et elle semblait sûre de son choix, même inflexible ! Les raisons : elle travaillait comme consultante et voulait gravir les échelons, devenir femme du Calife à la place de la femme du Calife, et avec un pervers comme moi, c’était trop risqué pour son image. Elle aurait peur d’inviter ses collègues à la maison, elle n’oserait plus aller dans les clubs échangistes que l’on fréquentait, elle ne serait plus à l’aise sur les plages privées naturistes libertines où l’on passait certaines de nos vacances quand ce n’était pas une ...
    ... "naked cruise" dans les Caraïbes, de crainte d’être reconnue. Ce qui bousillerait toutes ses ambitions professionnelles, surtout pour une jolie femme noire et jeune, à qui l’on ne ferait aucun cadeau ! J’ai tenté de négocier, de lui dire que j’essayerais d’être plus sérieux, plus respectable, que je pourrais bien faire cet effort pour elle.
    
    Mais elle avait tenu bon, sachant que dans cette situation, j’allais très vite la tromper, ce qui serait encore pire. Avoir l’image d’une délurée pouvait attirer certains mâles, ou femelles, qui pourraient lui être utiles mais passer pour la cocue de service ! Quelques mois plus tard, en 10 minutes devant un juge, nous divorcions et nous nous disions adieu. Plus tard, j’ai vite appris qu’elle avait jeté son dévolu sur un type plutôt insignifiant, genre passe-partout, plus vieux qu’elle d’une vingtaine d’années mais qui avait un énorme carnet d’adresses et savait admirablement l’utiliser. J’ai abandonné là mes réflexions, me disant que j’allais, dès le lendemain, bien cuisiner mes deux complices de baise pour avoir le fin mot de cette histoire. Et là-dessus, voyant qu’elles dormaient paisiblement, je me suis retourné dans le lit pour aussitôt tomber dans les bras de Morphée.
    
    Fin de la première partie. 
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