1. À l'amiable (1)


    Datte: 28/01/2018, Catégories: Erotique, Auteur: XavDum, Source: Xstory

    ... son mari qui était la cause de tout cela. C’est lui qui, par méchanceté et stupidité, l’avait jetée indirectement dans les mains de cet homme. L’idée germa dans la tête d’Aurélie que ce n’était pas elle qui était humiliée mais son mari… Il ne voulait déjà pas prêter sa voiture à sa femme, que dirait-il s’il apprenait que c’est sa femme qui était prêtée à un autre homme ?
    
    Elle sentait les mains de cet homme se promener sur tout son corps, saisissant ses seins, ses fesses, caressant délicatement son ventre, son sexe, tout cela sans enlever ses vêtements. Elle qui se sentait honteuse et apeurée peu de temps avant, se trouvait désormais à son aise, remuant les fesses pour les frotter contre le ventre de l’homme à la Porsche.
    
    N’était-ce pas le moment de rendre la monnaie de sa pièce à son mari ? Elle avait subi tant de brimades, supporté tant d’interdit : quelle meilleure façon de faire payer son mari que de donner son corps à un inconnu ? Alors comme ça, elle n’aurait pas le droit d’utiliser la voiture ? Et bien non, se dit-elle, elle avait le droit de choisir, de sortir, de ne pas vivre dans la peur et d’avoir du plaisir…
    
    Elle sourit à cette idée et se rendit compte que son état d’esprit avait changé par rapport à l’instant où elle était entrée dans ce champ de tournesol. Et si elle était dans ce champ par choix et non par obligation ? Et si c’était elle qui décidait d’humilier son mari et pas l’inverse ? Elle se retourna vers l’homme, le regarda en souriant et lui dit ...
    ... :
    
    - Mon mari est bien incapable d’autant de délicatesse, vous êtes un gentleman ! Cela mérite bien une récompense…
    
    Sans quitter l’homme des yeux, elle se rapprocha de lui et se baissa tout doucement pour se mettre à genoux. Elle caressa le ventre rond puis descendit ses mains jusqu’au pantalon où elle sentit le sexe en érection. Elle le caressa à travers la toile du pantalon pendant quelques instants.
    
    Ce qui lui avait semblé inacceptable auparavant ne l’était désormais plus. Elle voulait sortir ce sexe, le toucher, le goûter, elle voulait lui donner du plaisir. Elle baissa la braguette et passa sa main à travers l’ouverture du caleçon. Elle saisit le sexe en érection et le sortit, elle fit de même avec les bourses qu’elle prit délicatement de son autre main.
    
    Elle regarda le visage de l’homme, il était tout rouge, la bouche grande ouverte, il la laissait faire sans intervenir, c’est elle qui menait la danse, elle se sentait libre. Alors elle n’attendit pas une seconde de plus et mit directement le sexe dans sa bouche et commença à le sucer.
    
    Il lui caressa la tête puis la joue ce qui eut pour effet d’exciter encore plus Aurélie. Jamais son mari n’aurait eu un geste tendre comme ceci. Elle le décalotta et lécha son gland avec avidité puis se remit à le sucer langoureusement tout en malaxant ses bourses avec sa main gauche et le masturbant avec la droite.
    
    Elle sortait parfois le sexe de sa bouche pour le lécher, elle descendait jusqu’à ses couilles, les léchait ...
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