Une femme piégée 01
Datte: 03/07/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... regardant dans les yeux.
- Johan, ma femme a l'habitude de vivre en société, à son travail elle baigne dans la foule.
- Göran, il n'y a aucune raison d'embêter monsieur Erricson avec mes problèmes!
- Laisse moi continuer chérie, il n'y a aucune raison de ne pas en parler à monsieur Erricson, il peut refuser de nous rendre service si cela l'ennuie...
- C'est bien vrai monsieur Holmund, mais s'il y a quelque chose que je puisse faire pour vous madame Holmund, je serai très heureux de vous faire plaisir.
- Tu vois ma chérie... C'est comme je vous le dis Johan, elle a vraiment l'habitude de vivre avec des gens autour d'elle ce week-end, je pense qu'elle s'est profondément ennuyée assise toute seule dans sa maison, et je me blâme de ne pas y avoir pensé plus tôt. Mais cela ne devrait pas vous gêner outre mesure, je pensais simplement que vous-même, ou vos ouvriers pourraient lui tenir compagnie lorsque vous feriez votre pause, si cela ne vous ennuie pas j'aimerai que vous veniez vous asseoir avec elle dans la maison pour la distraire de sa solitude. - C'est entendu, nous ferons ce que vous désirez...
- mais Göran ils profitent de leur pause pour griller une cigarette, et comme tu détestes que l'on fume dans la maison...
- Désolé de ne pas être fumeur, cela ne m'était pas venu à l'idée...
- Cela ne pose pas de problème monsieur Holmund, Loather ne fume pas, et Stenn peut fumer une paire de cigarettes en travaillant... Je suis sur qu'il préférera tenir ...
... compagnie à votre adorable épouse plutôt que d'en griller une!
- Merci Johan, ainsi Camilla tu t'ennuieras moins demain, ces hommes t'offriront leur compagnie... Si je ne vous vois pas demain matin, laissez-moi-vous remercier pour l'ensemble de votre travail et pour votre amabilité... Au revoir monsieur Erricson...
Sur ces mots nous sommes rentrés chez nous... Je jetais un œil par dessus mon épaule et vit Johan qui m'adressait un geste sans équivoque, il avait empoigné son vit au travers de son pantalon et faisait mine de le branler en me regardant railleusement.
Les ouvriers partis la soirée se passa sans anicroches, rien ne vint la perturber. Cette nuit, bien au chaud dans notre lit, Göran se montra très tendre et très amoureux, je m'en sentais d'autant plus honteuse et coupable!
Ma seule consolation était de m'être livrée à ces hommes pour protéger Göran et mes enfants... Mais je savais cependant que ce n'était pas l'unique raison!
Le lendemain matin tout continua à se passer normalement, les enfants étaient prêts à partir à la crèche et à l'école maternelle, et Göran au boulot...
C'est alors que je vis arriver les ouvriers, ils me fient un signe amical de la main en passant devant la fenêtre de la cuisine.
Göran rassembla alors ses affaires les enfants m'embrassèrent tendrement, et je les vis tous trois partir pour la journée.
Avant que je ne ferme la porte d'entrée j'entendis la porte de la cuisine s'ouvrir. Elle communiquait avec l'arrière cour où ...