1. Longue nuit d'été (1)


    Datte: 03/07/2018, Catégories: Hétéro Auteur: shadeofthenight, Source: Xstory

    ... une autre s’appuyant sur son torse. Elle dansait sur son rythme ; calme et sensuel, ondulant comme les vagues d’un océan caressant la plage au coucher de soleil. Et, comme si elle jouait une mélodie dans sa tête, le rythme changeait, s’accélérait, imprévisible comme un orage, elle était la foudre et son corps était transpercé d’éclairs de sensations et de plaisir. Elle se déhanchait verticalement, ses seins frôlant son torse, l’étreignant, ses doigts s’enfoncèrent un peu plus sur sa peau, resserrant ses appuis.
    
    Mika caressait sa chute de reins, remarqua ses fossettes dans le bas du dos, qui la chatouilla au glissement de ses doigts sur sa peau, serrait ses fesses dans ses mains, rêvant de les mordre. Dans l’excitation, il la fessa, d’une petite fessée qui laisse une petite marque rouge du bout des doigts et qui clac. Anna laissa échapper un petit rire et ils s’embrassèrent dans la passion du moment, se transférant le plaisir qu’ils ressentaient à ce moment.
    
    Mika agrippa ses fesses à nouveau et posa ses pieds sur le sol tout en restant en elle. Il se leva et elle s’accrocha à lui avant qu’il ne la plaque contre le mur face au lit. Au choc de la pénétration et du mur ; elle poussa un petit cri légèrement rauque.
    
    Elle était agréablement surprise par l’initiative. Mika donnait de petits coups de reins qui excitaient Anna et son clitoris. Elle penchait sa tête en arrière de plaisir quand d’un coup il sortit son pénis hors d’elle, presque totalement. Et avant même ...
    ... qu’elle ne puisse vraiment comprendre il la pénétra à nouveau forçant son dos à se cambrer et ils étaient reconnectés. Il répéta ce mouvement, la frustrant de cette chose qui lui manquait. Elle se pinçait les lèvres, voulait reprendre le contrôle malgré son manque de mobilité et ses jambes accrochées autour de sa taille. Mais il ne la laissa pas faire, la défiant du regard ; la plaquant en la pénétrant. Il allait et venait de plus en plus vite, lui mordant, baisant son cou qui se tordait de plaisir, ses épaules puis ses seins qui frémissaient sous ses succions. Ses ongles s’enfonçaient sous sa peau qui glissait, elle s’accrochait à ses bras qui étaient tendus, les muscles saillants, se contractant pour la tenir.
    
    Son périnée était contracté alors qu’elle se tenait accrochée à lui, essayant de se faire la plus légère possible, regrettant ses derniers excès, se tenant au mur grâce à son dos.
    
    La pénétration n’en était que plus sensible et agréable. Leurs corps entiers se donnaient pour cet instant et s’adonnaient à leur plaisir.
    
    Leur respiration était rapide, ils sentaient les battements de cœurs de l’autre, poitrine contre poitrine, laissant échappés des bruits rauques et aigus à la fois pour Anna. Elle se délectait de ses va-et-vient rapides, ses coups de reins secs et cadencés.
    
    L’orage touchait à sa fin, la foudre allait frapper la mer. Ils ne formaient plus qu’un, à l’apothéose de leur plaisir et de leur intimité. La vague se déferla sur eux comme un tsunami qui balaye ...