1. COLLECTION FANTASME. Sado-Maso (1/1)


    Datte: 02/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... quantités de liquide sur nos draps.
    
    J’ai le temps et je vais sur mon moteur de recherche et je tape « soumission ».
    
    Je découvre un monde étrange ignoré de moi dû à mon éducation, mais qui rapidement me fascine.
    
    Je vois de petites vidéos de plus en plus intimes où principalement des femmes subissent ce que l’aiguille à tricoter m’a fait, je sais qu’il est possible grâce au technique moderne de truquer des images vidéo, mais certaines scènes sont tellement réalistes qu’elles m’interrogent et me font envie.
    
    Une idée me vient que je mets en pratique, le week-end dernier, mon mari m’a demandé de l’aider à ranger le garage, sur l’établi il y avait des pinces qui m’ont interrogé.
    
    Il m’explique que ces pinces s’appellent des pinces crocodiles qui servent à se fixer sur une installation pour regarder le voltage ou la tension, ces deux mots me sont étrangers, mais ce que j’avais remarqué ce sont les petites dents qui composent la tête de la pince.
    
    Une fois seule je vais en chercher quatre, je m’installe sur mon lit et prenant l’une de mes grandes lèvres j’ouvre et je referme la première, je retrouve la grande douleur qui m’a fait hurler dans mon cauchemar.
    
    Je savoure cette sensation avant de recommencer l’opération sur l’autre lèvre, retrouvant la même douleur suivie du même plaisir.
    
    Je me prépare après m’être admiré dans ma psyché en oubliant d’enfiler mon string, avant de sortir chercher ma fille.
    
    Être devant son école entourée de femmes ordinaires alors ...
    ... que je viens d'entrer dans le monde fermé des salopes me met en joie, mais la sensation d’un liquide coulant le long de ma jambe me fait peur.
    
    Dès que je suis devant le salon de thé, je demande à la patronne de me garder ma fille et je vais aux toilettes, je fais bien car l’une des pinces a entaillé un peu plus mes chaires et un filet de sang coule le long de ma jambe.
    
    Je me nettoie, mais je prends tellement de plaisir que je replace la pince crocodile comme les trois autres plus au bord ressentant une nouvelle fois la douleur plaisir que mon geste me fait endurer.
    
    J’ai toujours sur moi une petite bombe de désinfectant que je pulvérise sur les genoux de ma fille chaque fois qu’elle tombe et s’égratigne, j’en pulvérise sur ma blessure profitant au passage du froid que le petit vaporisateur propulse.
    
    Pendant huit jours, je profite de ma trouvaille à plusieurs titres, en les plaçant jusqu’au retour de mon mari et quand il me fait l’amour toujours dans le noir où les petites blessures ma brûlent m’apportant un autre type de plaisir.
    
    Je suis de plus en plus accro à la douleur, mais j’évite de me percer les seins plus visibles que mes grandes lèvres, mais quand je suis seule, je vais chercher deux autres pinces que je pose sur mes pointes ressentant une autre sensation, mes fraises ayant une plus grande sensibilité que mon vagin.
    
    Un matin après bien des tergiversations sachant le risque que je prends inexorablement suite à une kyrielle de commentaires de femmes ...