1. Week-end de baise


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Anal Gay Hardcore, Auteur: fredbi75, Source: xHamster

    ... tourne, en présentant ma croupe, assez conscient de ce qui allait forcément se passer. Je l’entend cracher, puis sent ses doigts mouillés venir frotter mon rondelle. Son gland vient se caler contre mon anus, avant de forcer l’entrée. Je retiens tant bien que mal un gémissement, le manque de préparation de mon trou se fait sentir, ça brule. P le sent bien, alors il s’enfonce doucement, jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mon périnée. Bien calé, bien au fond, il ne bouge plus. Comme une bonne chienne, je contracte ma rondelle par intermittence, pour comprimer sa queue.
    
    « C’est bien ça, tu sais t’y prendre… ».
    
    Il ressort sa queue presque entièrement, crache dessus, avant de le renfoncer de nouveau. Ca coulisse mieux. Alors il se met à renouveler le mouvement, un peu plus rapidement, me chauffant les entrailles et m’ouvrant un peu plus à chaque passage. Mais soudain, quelqu’un essaie d’ouvrir la porte. Bien calé au fond de mon cul, il s’immobilise. On entend la porte d’à côté s’ouvrir puis se refermer. Quelqu’un est juste à côté de nous. P approche sa tête près de mon oreille, et me chuchote :
    
    « Bouge pas, contracte juste ton trou de salope… ». Je masse sa queue à l’intérieur de mon cul en contractant, relâchant, contractant.
    
    « J’adore ça… », me susurre-t-il à l’oreille. A côté, on entend la chasse se tirer, puis l’homme sortir. P n’attend pas plus longtemps pour se mettre brutalement à me pilonner ! Je suis obligé de prendre appui sur le mur en face de moi ...
    ... pour garder mon équilibre. Je sens le plaisir monter en moi comme une vague brûlante. Je regarde entre mes jambes et voit ma bite molle (comme toujours quand je me fais enculer) se balancer au rythme de ses coup de boutoirs, et un filet de mouille couler de mon gland.
    
    Mais aussi soudainement qu’il s’est mis à me défoncer, il s’arrête, et ressort sa queue.
    
    « Retourne toi ». Je lui fais face, et il voit mon visage surpris.
    
    « T’es déçu hein ? Tu croyais que j’allais te remplir ? ». Je fais oui de la tête. C’est vrai que je suis déçu. « Je veux garder mon foutre pour tout à l’heure. T’inquiètes pas, t’auras ta récompense ». Son gland est à quelques centimètres de mon visage. Je ne peux pas résister, la tentation est trop forte, et je le prend en bouche ! Cette fois c’est lui qui est surpris ! Je tête goulument, j’aspire sa queue, je ventouse jusqu’à ses couilles ! Je suis dans un état d’excitation absolu ! Sucer une queue qui sort de ma chatte, je ne l’avais encore jamais fait, c’était jusque-là resté au stade du fantasme. Je ne veux pas laisser partir sa bite, il est obligé de se dégager. Elle ruisselle de bave devant mon nez. P sort son appareil photo et immortalise cet instant : moi, rouge d’excitation, du foutre d’un inconnu sur la joue, devant sa queue baveuse, accroupi à poil sur un chiotte.
    
    « Sacré tableau ! Rhabille toi on se casse. On va finir par s’attirer des emmerdes si on reste trop longtemps ».
    
    Je descends des chiottes les jambes endoloris, ramasse mon ...
«12...5678»