1. Photographe passion 02


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Bonlien, Source: Hds

    Mon réveil est brusque, j'ai un besoin urgent de pisser. J'agite et masse ma tête pour remettre mes idées en place, je bondis hors du lit et trouve la salle de bain. Debout devant la cuvette, je sens un regard. Pierre est dans l'entrée, en slip, ses yeux rivés sur moi et un large sourire illuminant son visage. Je réalise la situation, moi nu exhibant une érection, ma main dirigeant un puissant jet tandis que lui est en slip et m'observe ouvertement. Je sens la chaleur envahir mon visage d'autant plus qu'il s'approche. Je me contrôle pour paraître naturel et éviter de pisser à coté. Il place un essuie sur la tablette et me propose de prendre une douche. Ensuite, il reste debout devant l'entrée sans un mot. Je ne sais que faire, je me sens piégé. Il attend là dans l'entrée, je suis mal à l'aise. J'entre dans la douche et je peux sentir son regard perçant m'observer tandis que je me lave. Je suis de plus en plus nerveux et excité par la scène. Je n'ose pas trop toucher mon sexe qui est super tendu. Je voudrais tant me branler.
    
    Pierre semble satisfait, je ne sais pas de quoi. Je suis fier d'avoir pu résister à la branle. Avec une question sans réponse, il demande si j'ai bien dormi et s'éloigne rapidement. Joyeux et heureux, je retourne dans ma chambre et cherche après mes vêtements. Ils ont tous disparut, seuls, ma ceinture et quelques gadgets qui se trouvaient dans mes poches sont visibles sur le lit.
    
    L'essuie autour de la taille, je descends les escaliers et me dirige ...
    ... vers la cuisine. Avant que j'aie le temps d'ouvrir la bouche, Pierre me signale nonchalamment de ne pas chercher mes vêtements comme ils sont à la lessive. "Un beau corps comme le tien ne doit pas rester couvert, même par une simple serviette!" Je reste bouche bée. Sans s'occuper de moi, lui toujours en slip, Pierre verse deux tasses de café et prépare des toasts. Je peux sentir le léger parfum d'œufs et de lard envahir mes narines et attiser ma faim.
    
    Ce qui me préoccupe le plus est ce que je dois faire de cet essuie. Je décide quand même de le garder, mais comme j'approche, il me met en garde de ne pas mouiller la chaise d'un ton plutôt sec. Sous le couvert de la table, je laisse tomber le tissu sur le sol et m'assieds. Il me regarde droit dans les yeux, "A terre, ce n'est pas une bonne idée!"
    
    Je le ramasse à contre cœur et le dépose sur la table.
    
    "Tu te fous de moi!"
    
    Je le récupère directement et regarde autour de moi. Je ne sais pas quoi en faire. Il me fixe toujours depuis l'autre coté de la pièce. Tout-à-coup, il approche, tend son bras et dit simplement, "Donne!"
    
    Je me lève, avance vers lui, pleinement conscient de ma nudité. Rougissant, je tends l'essuie vers ses mains dressées et, avant que je le réalise, ses mains agrippent ma hampe plutôt que l'essuie. Je reste figé, mon cœur palpitant et mon sang battant dans mes tempes. Il la masse quelques fois et dit simplement, "Ce serait vraiment malheureux de cacher un si beau trésor."
    
    Mon cœur enivré envoie ...
«12»