L'esclavage de Juliette Ch. 03 - Histoires de Sexe

L'esclavage de Juliette Ch. 03

... lubrifiant. Elle s'écarte un peu forçant ma queue à sortir du confort de son entrecuisse. Elle prend ma queue en main et se met à l'utiliser pour frotter son clitoris. Cette excitation de mon gland est trop directe et m'envoie des secousses à travers tout le corps. Elle n'arrête pas pour autant. Je sens l'intérieur de ma bouche s'électrifier par les caresses de sa langue. Elle utilise ma queue pour caresser son clitoris puis toute sa vulve qui est douce et bien humide.

Lola se déplace un peu et je réalise qu'elle place ma queue à l'ouverture de son vagin. Mes mains sont sur ses fesses. Dès que je sens qu'elle a bien placé ma verge, je la tire vers moi. Je me sens pénétrer ce sexe adolescent. Il enserre fermement ma verge. Dès les premiers centimètres de ma pénétration, j'ai l'impression que je vais jouir. Lola m'entoure de ses bras gantés et m'aide à la pénétrer plus profondément.

Je sens un baiser sur ma joue et j'entends Josée qui me chuchote.

« Allez William, c'est le temps de jouir maintenant. Mon copain s'en vient et je ne voudrais pas que tu sois là quand il arrivera. »

Elle a placé sa langue dans mon oreille et m'a claqué une fesse en finissant sa phrase. Je l'ai sentie se placer derrière moi et forcer le mouvement de va-et-vient dans Lola. Je n'avais pas besoin de cette stimulation, déjà j'avais passé le point de non-retour et j'avais déversé un premier jet de sperme profondément en Lola. J'ai crié ma jouissance, puis je me suis planté profondément ...

... dans Lola pour déverser tout mon foutre. Je serrais Lola contre moi de toutes mes forces. Le con de Lola était le plus agréable qu'il m'a été donné d'utiliser. Je ne voulais plus en sortir. Je ne débandais plus.

C'est Josée qui a tiré mes hanches pour me découpler de force de la petite. Immédiatement quand je fus sorti du fourreau une bouche a accueilli mon sexe et l'a ensuite léché avec attention. En ouvrant les yeux, j'ai constaté que Emma me nettoyait. La lumière me semblait violente. Ma tête tournait. Quand elle a eu fini, elle a pris ma queue encore dure et tant bien que mal elle l'a remis dans mon pantalon et a refermé ma braguette. Josée m'a prise par le bras. Je me laissais faire bêtement.

« Je suis désolée de devoir te mettre à la porte, mais tu dois quitter William. Maman te reverra demain matin au travail. Je vais m'assurer qu'elle soit belle pour toi. Merci d'avoir préparé maman, j'ai cru que je devrais la droguer pour réussir ce que je vais faire tantôt. Tu as été parfait, merci encore. Bonsoir William »

J'étais sur le seuil de la porte. Ma tête tournait et j'affiche un sourire niait qui ne veut pas s'effacer de mon visage. Je prends quelques secondes pour reprendre mes esprits et je tente vainement d'essayer de comprendre ce qui vient de se passer. Je me dirige à mon auto où je m'assis pour reprendre mon souffle. Une voiture sport rouge passe en trombe à côté de moi et vient se garer dans le stationnement de la maison de Lynn. Deux jeunes hommes noirs ...