1. COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (14/23)


    Datte: 02/07/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... aussi calme qu’un jour sans vent sur les plages bretonnes.
    
    Le parchemin a dû juger que Fabrice et sa serveuse pouvaient se débrouiller seuls.
    
    J’arrive dans l’encadrement de la porte, je passe la tête, cachée par le bar. Je vois la serveuse que j’ai croisée en sortant lorsque j’ai déposé la boîte avec le parchemin chez mon copain à genoux devant sa bite bandée.
    
    Il a déjà bien avancé le travail, la jeune blonde est seins à l’air, je les vois mal car elle est à moitié de dos.
    
    Je vois le sac où la boîte est rangée, sur l’étagère où je l’ai posé, mais impossible d’entrer sans les déranger.
    
    Je connais ce genre de pucelle qui se donne pour la première fois à un homme d’âge mûr, un rien les fait fuir.
    
    Je prendrais bien le risque d’attraper le paquet, la jeune fille le pompant allègrement, mais je dois le voir pour qu’il me suggère un traiteur.
    
    Inutile de revenir deux fois, surtout que j’ai téléphoné à Martine et Lucien qui sont absents jusqu’à demain, j’aurais pu passer la soirée chez eux.
    
    • Place tes seins sur cette table, je vais te prendre par-derrière, tu aimes ça salope, je viens de te mettre deux doigts, ils sont trempés, suce-les, tu vas goûter à tes sécrétions.
    
    J’entends la fille faire.
    
    • Oh !
    
    J’ai vu son amant pousser un coup, la pénétrant avant de la pilonner de la meilleure des façons.
    
    Il me semble, aux chants qui sortent de sa gorge, qu’elle apprécie.
    
    Fabrice dans une dernière poussée doit éclater en elle, au son que lui aussi ...
    ... émet.
    
    • Patron, j’ai honte qu’est-ce qu’on a fait.
    
    Son amant la libère, elle remet son string, enfile son chemisier et rajuste sa jupette noire tirebouchonnée autour de sa taille.
    
    Elle prend son tablier qui est où elle l'avait posé et vient vers moi presque en courant.
    
    J’ai juste le temps de me reculer derrière un frigo, elle passe sans me voir, j’entends la petite C1 citröen qui était garée démarrer vers Baume-les-Dames.
    
    • Merde, elle était pucelle, j’en ai partout et Louisa qui va revenir, je suis dans la merde !
    
    J’en profite pour sortir du bois.
    
    • Alors Fabrice tu es dans la merde !
    
    • Véronique, c’est la cata, je viens de baiser Odile ma petite serveuse, depuis le temps qu’elle m’allumait, mais elle était vierge et j’ai du sang plein ma blouse de travail.
    
    • Sans oublier ta queue à ce que je vois.
    
    Enlève ta blouse, donne-moi-là, avez-vous une machine à laver ?
    
    • Oui au fond de la cuisine, merde mon pantalon en a aussi.
    
    Il enlève la dernière jambe, il était tellement pressé de la niquer qu’il l’a seulement descendu avec son slip qui par chance n’a pas reçu de sang.
    
    • Attends, je reviens.
    
    Je retourne dans la cuisine, je mets les vêtements, savon, liquide, adoucissant posé à côté et je la démarre à 40°.
    
    Je sors.
    
    Heureusement les touristes brillent par leur absence, sauf une voiture s’arrêtant sur la place, ils vont certainement aller à la source bleue.
    
    J’entre dans l’enclos où il a ses casiers à truites venant de la pisciculture qui ...