Tata Laurence et Mamy Geneviève (2) - Histoires de Sexe

Tata Laurence et Mamy Geneviève (2)

... venue me maquiller, il y a eu un déclic en moi, je me sentais vraiment femme. Elle avait apporté une trousse de maquillage et s’est occupée à effacer tous mes côtés masculins que l’on aurait pu discerner. C’est vrai qu’en même temps, je n’avais pas vraiment un visage typiquement masculin, il faisait un peu androgyne. C’était ma grand-mère qui était en train de faire de son petit-fils un travesti, déjà avec la tenue je pense que je me serais fait draguer; mais avec le maquillage il n’y avait pas de doute. Pendant que je me faisais maquiller je repensais aux carresses indiscrètes que m’avaient prodigué mes deux femmes, j’étais en train de réaliser que mon petit cul aimerait bien être sollicité. Quand grand-mère a fini de métamorphoser mon visage, je suis parti me regarder dans la glace. Stupéfaction j’avais tout d’une femme: la tenue, la démarche, et même le maquillage.

— Maintenant il va falloir que tu apprennes à avoir des manières de fille quand nous serons ensemble.

Voilà ce qu’elles m’ont dit en chœur pendant que je traversais le séjour.

C’est toutes les trois, si je puis dire, que nous sommes descendues à la voiture; direction la maison de campagne de grand mère. Pendant que Geneviève conduisait, Laurence était derrière avec moi, en profitait pour m’embrasser, pour me caresser mais surtout pour me mettre le feu et entretenir mon excitation. Nous sommes arrivés sur place vers dix-neuf heures trente, bien qu’il y ait largement suffisamment de chambres, j’ai ...

... découvert que j’allais dormir avec Tata Laurence. En même temps, c’est elle qui m’avait préparé un sac pour le weekend; j’étais devenue sa nièce pour le weekend. Nous n’avons pas été bien longs à nous installer, c’est grand-mère qui s’était occupée du dîner. La maison était fraîche et je ressentais cette fraîcheur sous ma robe, cela me faisait tout drôle car ça me permettait d’imaginer ce que ressentait une femme quand il faisait frais. Malgré cette légère humidité, cela n’altérait en rien mon érection qui était due à ma tenue féminine.

Nous avons mangé dans la bonne humeur, entre femmes et nous n’avons parlé, durant le repas que de ma féminité; qu’il fallait que je développe. Une fois le repas terminé, nous avons débarrassé la table et nous sommes chargés de faire la vaisselle. L’effleurement de nos robes les unes avec les autres me faisait des frissons à chaque contact. Je sentais un peu le haut de mes mollets qui commençaient un peu à durcir car je n’avais pas l’habitude d’être perché sur les escarpins. Régulièrement tata et mamie me collaient des mains au cul, juste pour me rappeler que j’avais un petit cul de femmes. À force de me rabâcher que mon petit cul allait plaire aux hommes, ça commençait à me travailler. Une fois les corvées nettoyage terminées, Laurence est partie nous chercher des peignoirs assez chauds pour que nous puissions aller nous mettre dans le canapé devant la télé. Ces derniers étaient on ne peut plus féminins, déjà de couleur rose mais surtout ils ...