1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (8)


    Datte: 01/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    Au réveil, Stéphanie s’est faite très tendre et câline avec moi, j’étais aux anges, tout roulait.
    
    — C’était bien hier soir mon amour.
    
    — Oui. Je t’aime Stéphanie.
    
    — Moi aussi...
    
    Un long silence, elle est dans mes bras. Puis sa voix claque, moins tendre.
    
    — Ca ne te frustre pas trop quand même ?
    
    — De quoi ?
    
    — Et bien, disons, de ne pas me pénétrer souvent ou longtemps ?
    
    — Toi, ça te frustre ?
    
    — Non, non, je disais ça pour toi. Tu me donnes beaucoup de plaisir, hier avec ta langue, mmm....
    
    On finit par se lever ; on n’avait jamais vraiment abordé le sujet, mais ça va, je m’en sors bien je pense. Stéphanie se prépare à la salle de bain, moi je prépare le petit déjeuner. Elle est arrivée dans la cuisine je finissais de tout installer pour nous trois, elle était superbe. Mais pas le temps de m’extasier, j’ai vu juste derrière elle apparaître Karim, qui matait son cul. Il était de nouveau en boxer. Juste derrière elle, elle ne l’avait pas vu.
    
    — Mmmm j’adore cette odeur de café et de pain grillé.
    
    Elle s’est approchée de la table et s’est assise. Karim, dans son dos, a mis ses mains sur ses yeux.
    
    — Qui c’est ?
    
    Stéphanie a poussé un petit cri de surprise, puis en souriant s’est redressée sur la chaise.
    
    — Mmmmm, je ne reconnais pas ses mains.
    
    — Oui elles sont sans doute plus grandes et plus fortes que celles dont tu as l’habitude.
    
    — Ah ah, oui c’est sûr... Bonjour Karim.
    
    — Bravo ! Tu as gagné.
    
    — Salut Karim.
    
    Ils ne font pas ...
    ... attention à moi.
    
    — Ah oui ? J’ai gagné quoi ?
    
    — Mmmm je ne sais pas, je vais y réfléchir.
    
    En disant cela il est passé de l’autre côté de la table, j’ai vu alors qu’il bandait, putain la gaule matinale de fou. Et Stéphanie ne pouvait pas ne pas l’avoir vue. J’ai essayé de parler bas :
    
    — Putain Karim tu déconnes, tu veux pas aller t’habiller ?!
    
    — Hein ? Oh, ah oui pardon. C’est juste que je n’ai pas l’habitude de devoir faire attention. D’habitude, la fille dans la cuisine est plutôt contente du spectacle matinal, ah ah.
    
    Stéphanie a baissé les yeux dans son café, Karim s’est assis en face d’elle, et moi je n’ai rien ajouté, il m’avait ignoré, évidemment, je me suis assis entre eux. Le petit déjeuner s’est passé entre diverses banalités.
    
    Ce matin, Stéphanie partait au boulot, assez tôt. L’après-midi elle ne bossait pas, elle voulait faire du shopping en prévisions de nos vacances, une croisière sur un superbe yacht de luxe, deux semaines plus tard. Comme à son habitude, elle avait pris mes cb. J’adorais ça avec elle. Sur ce point elle n’hésitait pas, elle prenait mes cb dans mon portefeuille et me disait juste « je prends les cartes mon chéri », je ne sais pas pourquoi mais cela m’a toujours plus, beaucoup. Et ce matin elle n’avait pas manqué de le faire. Karim avait souri en l’entendant, mais n’avait pas relevé.
    
    Karim l’avait évidemment bien matée quand elle quittait la maison et nous avait dit au revoir, nous souhaitant une bonne journée et une bonne date à ...
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