1. 45 - La fessée de trop.


    Datte: 30/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Auteur: mia-michael, Source: xHamster

    La fessée devant toutes les ouvrières, ça ne passe pas ! Depuis, plus personne ne me respecte... Si je croise des ouvrières, il y en a toujours une qui va me balancer un truc du genre "Encore chaud aux fesses, Comtesse ?" ce qui les fait bien rigoler. Si ce sont des ouvriers, l'un d'eux va faire mine de me prendre sous son bras pour me fesser ! J’en ai plein le cul !
    
    Lorsque je m’en suis plainte auprès de mon beau-père, il m’a répondu, agacé :
    
    — Difficile de renvoyer tout le monde.
    
    Connard !
    
    Et il y a pire. Quand cet enfoiré de Max m’a fessée devant les ouvrières, l’une d’elles avait un appareil photo et elle a fait 36 vues de mes fesses et de la fessée. Les photos se vendent comme des petits pains et circulent dans toute l’usine !
    
    Il y a même un atelier où il y a un agrandissement de mes fesses toutes rouges sur un mur ! Quand j’ai demandé à mon beau-père de faire enlever la photo, il m’a répondu :
    
    — C’est flatteur Samia. D’ailleurs, moi-même, j’aime beaucoup cette série...
    
    Double connard !! Il ajoute :
    
    — N’oublie pas, rendez-vous au restaurant à 7 h 30' avec Giulia...
    
    J’ai envie de faire la chieuse, alors je lui dis :
    
    — Ce soir, c’est pas possible
    
    Oh qu’il n’aime pas ça ! Il répond :
    
    — Pourquoi ?
    
    — Si vous ne faites pas enlever cette photo, c’est non pour les soirées...
    
    Ça, il aime encore moins, car il a vraiment besoin de nous pour ses clients et même pour lui. Alors, il me dit :
    
    — D’accord, je la ferai enlever.
    
    Yes ...
    ... !
    
    ***
    
    En début de soirée, Giulia et moi, on arrive dans le bar de l’hôtel où mon beau-père reçoit ses clients. On est habillées classe mais sexy et normalement, les filles seules un peu trop séduisantes ne sont pas les bienvenues. Heureusement, le barman me connaît bien. Et puis, mon beau-père est un très bon client. Le barman vient m’embrasser en disant :
    
    — De plus en plus belle.
    
    — Merci, c’est gentil.
    
    — J’ai rêvé de toi...
    
    — C’était convenable ?
    
    — Non, pas du tout : on était tous les deux nus dans une prairie et, grisé par ton parfum, je bandais contre tes fesses chaque fois que tu te baissais pour cueillir des fleurs... et puis, on s'est déshabillés, on s'est embrassés...
    
    En tant que Comtesse de Préville, je devrais lui dire "Non mais, ça ne va pas jeune homme ? Restez à votre place !" Mais en tant que Samia qui joue les... escortes, je lui réponds :
    
    — Ça peut se faire... si tu sais où il y a une prairie.
    
    — Je suis un peu fauché, hélas.
    
    — Tu baises bien ?
    
    — Je te lécherai des pieds à la tête et je bande déjà comme un... âne.
    
    On rigole et puis, j'aime bien les ânes. Mon beau père arrive avec trois hommes et deux filles. Deux d’entre eux sont des gens importants de l’usine, qui doivent siéger au conseil d’administration. Ils sont sûrs d’eux comme les riches peuvent l’être. Le troisième est le commercial ayant fait le plus gros chiffre de ventes, lui est plus sympa.
    
    Je râle d’autant plus que, cette fois-ci, ma réputation... est morte et ...
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