1. Mon premier voyage de femme « libre »… 2° partie


    Datte: 29/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    Mon voisin commence à me caresser la cuisse. Je suis tendue, j'ai les jambes qui tremblent. Je suis un sexe, tout en sexe. Tout m'électrise. Je sens sa main qui s'arrête, j'ai envie de crier "encore, encore", plus haut. Machinalement, j'appuie sur le bouton de mon siège pour le basculer en arrière au maximum.
    
    Ce mouvement fait glisser la main de mon coquin qui remonte vers le haut de mes bas.
    
    Je serre mes cuisses pour enserrer mon bourgeon que je sens gonflé de désir.
    
    Jamais je n'aurais imaginé une telle situation, en plus avec un inconnu.
    
    Me voilà toute à sa merci. Comment est-ce possible ? Et cette envie de crier qui revient…
    
    Je serre mes cuisses, j'écarte mes cuisses pour que cette main inquisitrice vienne prendre possession de mon antre de plaisir.
    
    Et cet homme qui prend tout son temps, il va me rendre folle….
    
    Ça y est, je sens sa main qui repart, qui redescend, mais que fait-il ?, c'est un supplice…
    
    Je n'ose remettre ma main sur mon sexe, je la glisse vers mon téton que je sens tout durci à travers la soie. Je pince fort celui-ci. Je n'en peux plus. Et puis, je sens cette main qui remonte, qui franchit enfin la limite du bas pour atteindre ma peau nue. Elle s'arrête pour prendre possession de ma cuisse, je sens ses doigts qui glissent sous l'élastique de mon dim-up, et puis, enfin, cette main qui s'infiltre à l'intérieur de mes cuisses pour venir jouer avec l'élastique de mon string détrempé.
    
    C'en est trop, je me sens me cambrer pour m'offrir à ...
    ... cette main libératrice …
    
    Je sens enfin ses doigts venir effleurer mon bourgeon qui explose littéralement sous cette caresse. Je mords mes lèvres pour ne pas crier. Mes cuisses se referment. Je veux garder cette main génératrice de ma jouissance car je sens qu'elle est encore là à fleur de peau et que je peux jouir encore, que je veux jouir encore…
    
    La main et moi ne bougeons plus pendant quelques minutes. Le temps que je reprenne mes esprits.
    
    Lorsque j'ouvre les yeux, je vois mon bienfaiteur de voisin qui me sourit. Un sourire craquant. Un sourire que je ne peux m'empêcher de lui rendre, avec rapidement un geste de recul bien incontrôlé. J'ai quasi simultanément découvert son sexe imposant qui sortait de son pantalon. Il me regardait en se caressant…
    
    Que devais-je faire ? Je me mis aussitôt à perdre les pédales. Je ne m'étais jamais trouvé dans cette situation.
    
    Je ne pouvais pas rester comme une bécasse, et puis, cette belle queue me donnait envie. Et j'étais parti pour profiter de la vie, pas pour m'enfermer dans un couvent : "carpe diem".
    
    Je me penchais pour venir taquiner le gland de bonne taille avec ma langue.
    
    Sa queue était douce et gonflée de désir. Voilà une queue qui me désire, c'est plutôt flatteur, me dis-je. Cet homme, si mignon. Il doit bien avoir 10/15 ans de moins que moi, et il me désire. Et si sa bandaison est à la hauteur de son désir, je dois être très bien placée sur son échelle de tentation …
    
    Je me mis à l'avaler, à la lécher, à la ...
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