Le séminaire - Partie 3 - Désir intense - Histoires de Sexe

Le séminaire - Partie 3 - Désir intense

... les sablées. Nous improvisons un restaurant et proposons à Léa de se joindre à nous, invitation qu’elle accepte. À la fin du repas, elle nous suit au gîte pour finir la soirée autour d’une bonne bouteille de vin à discuter et rire ensemble. Deux heures plus tard, il est bientôt minuit et nous sommes tous les trois dans le salon. Mon colocataire se lève :

— Bon, je vais aller me coucher. 8 h demain et on fait la route ensemble ? Léa, je te souhaite un bon weekend, rentre bien.
— J’ai la tête qui tourne un peu, ça vous dérange si je m’allonge un peu sur votre canapé avant de rentrer, surtout que la route est glissante ?

Mon colocataire et moi nous regardons, nous ne pouvons pas la laisser rentrer si elle ne se sent pas bien, en particulier par ce temps, ce serait dangereux !

— Ça tourne un peu vite, je ne sais pas si je vais réussir à conduire. Ça vous dérange si je reste ici ce soir, sur votre canapé ?
— Tu ne vas pas rester dans le salon, Deux des trois radiateurs fonctionnent à peine et le matin quand on se lève il doit faire 10 ° maximum.
— L’un de vous peut me ramener ?
— Oui, mais comment on fait demain pour ta voiture, à moins que tu n’en aies pas besoin ce weekend… Je crois plutôt que l’un de nous va devoir se sacrifier !
— Ne me regarde pas comme ça, vous avez plus d’affinités tous les deux et puis ton lit est plus grand que le mien !

Je ne peux nier aucun des deux arguments. Mon lit est plus grand que son clic-clac de fortune (j’ai été le plus ...

... rapide lors de l’emménagement) et bien que personne ne soit au courant de nos petits jeux avec Léa, notre amitié est assez visible. Je cède :

— Bon ok, mais chacun de son côté du lit !
— Bien sûr, arrête de te faire des films !

Je reste scotché par la répartie de Léa, mon coloc éclate de rire puis va se coucher. Je vais me brosser les dents puis je rejoins ma chambre. Léa est debout, à côté du lit, en string…

— Excuse-moi, j’ai oublié mon pyjama…
— Tu ne vas pas avoir froid ?
— Tu me réchaufferas !

Elle se glisse aussitôt sous la couette. J’enlève à mon tour mes vêtements ne gardant que mon boxer et je la rejoins. Elle vient aussitôt se coller à moi et commence à m’embrasser. J’adore ! Nous nous enlaçons tendrement. Son corps m’a manqué ces cinq derniers jours, je crois même que j’ai rêvé d’elle une ou deux nuits. Sa peau est toujours aussi douce et son parfum m’enivre tellement… Puis nous commençons à discuter. Je reviens pour la première fois sur notre soirée de dimanche :

— Tu sais que j’ai eu beaucoup de doutes sur l’effet que je te faisais dimanche dernier…
— Comment ça ?
— Eh bien tu n’es pas super expressive, à aucun moment je ne t’ai entendu dire quoi que ce soit ou laisser échapper un petit cri, donc j’ai eu pas mal de doute.
— Tu plaisantes ? Je n’avais jamais connu autant de plaisir ! Mon ex s’occupait aussi de moi de temps en temps et je trouvais qu’il se débrouillait bien mais toi… Tu m’as donné deux orgasmes d’affilée et si tu ne t’étais pas ...