1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1208)


    Datte: 28/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... administrateurs se passa sans aucun problème, mais mon père ne m’adressa pas un mot, ni même un regard sauf des regards hautains d’un homme qui se croit de classe supérieure. Une fois les papiers signés, devant un huissier afin de faire constater que tout se passait en bon ordre, il dut rendre les clés au conseil d’administration ainsi que tous les moyens de paiements qu’il avait en sa possession et son badge. Tout cela, devant mon père qui contenait difficilement sa colère, me fut restitué sauf que j’avais décidé, en accord avec mon conseil d’administration, de nommer Monsieur le Marquis comme associé de ma société, Celui-ci apportant un large capital dans nos finances soit de l’argent frais très apprécié des administrateurs et donc ils ont tous voté à l’unanimité, sauf une voix qui bien évidemment était celle de mon père… Je me tournais donc face au Noble et dis :
    
    - Monsieur le Marquis d’Evans, en accord avec mon conseil d’administration, nous avons voté à l’unanimité, moins 1 voix, votre adhésion à notre société. J’ai donc le plaisir de Vous faire associer de ma société à 50%. Pourquoi tout simplement car Vous avez toujours été de très bons conseils pour moi et que Vous m’avez été d’une grande aide et d’un grand soutien durant cette dure épreuve… De plus, Vous avez su convaincre nos amis administrateurs, ici présents, en apportant une manne financière non négligeable à notre société et nous vous en remercions. (puis me tournant vers mon père, je lui parlais ...
    ... froidement) … Quand à vous Monsieur de Bourbon, je vous serai grés de bien vouloir quitter mon établissement immédiatement ou je fais appeler la sécurité.
    
    - Eh bien mon cher Edouard, voila une gamine prétentieuse et bien insolente envers un de Vos plus vieux amis, cela mériterai une sanction exemplaire mon cher, dit-il (insinuant par le mot ‘sanction’’ une punition D/s).
    
    Un grand silence parmi les administrateurs se fit, eux observaient cette joute verbale avec attention. Je fus choquée des mots de mon père envers moi et le Noble de même. Il lui répondit alors par un regard fixe, froid, la tête haute :
    
    - Monsieur de Bourbon, Je vous prierais dorénavant de m’appeler Monsieur le Marquis, tout simplement, après ce qui s’est passé en Ma demeure et surtout envers votre propre fille, je ne peux le tolérer. Vous ne faites plus partie de Mes amis, je vous prierais comme l’a demandé Mademoiselle la PDG de la société, de bien vouloir partir...
    
    - Eh bien, Monsieur le Marquis, soit ! J’en prends note mais sachez une chose, tôt ou tard, vous me le paierez tous les deux, croyez-le, dit mon père fou de rage.
    
    Sur ces mots, il se leva, ne salua personne et furieux, il tourna les talons et partit, claquant la porte avec force. Je me sentis soulagée et très reconnaissante envers Monsieur le Marquis. Après un pot offert aux administrateurs fêtant l’arrivée du Noble dans la société, où le champagne coula à flot, tous les administrateurs quittèrent les lieux en saluant chaleureusement le ...