1. Dominé dans le bus de nuit (4)


    Datte: 27/01/2018, Catégories: Trash, Auteur: Platony, Source: Xstory

    ... de son gland gonflé d’excitation, et je redescends vers ses couilles pour lécher sa bite de toute sa longueur. Il me saisit la tête et m’impose son rythme. C’est comme une chorégraphie en duo, je maîtrise mes pas, il maîtrise les siens. De temps à autre, il l’enfonce plus profond et me maintient, moi je ne pense qu’à son plaisir et je me laisse faire. Un moment, je suce ; un moment, il me baise la bouche.
    
    Alors qu’il me maintient en gorge profonde, je sens qu’on me retire le plug.
    
    - Je peux ? demande une petite voix discrète.
    
    - Bien entendu, répond le second chauffeur.
    
    Mes cris sont étouffés par la gorge profonde. Je n’arrive pas à me débattre, je suis maintenu par le chauffeur. Sans prendre plus de précaution, l’inconnu s’enfonce en moi.
    
    Passé la première pénétration, un peu moins douloureuse après ce que je me suis pris, la bite de taille modeste ne me fait pas trop mal. Le chauffeur me baise littéralement la bouche, tandis que je me fais prendre pas un type dont je ne connais même pas le visage ! Je suis pris en sandwich et je vous mentirais si je vous disais que je n’y prenais pas un plaisir purement sexuel.
    
    Très vite, le chauffeur finit directement au fond de ma gorge. J’avale tout, et je nettoie sa bite, toujours pour ne pas trop le contrarier. De l’autre côté, « l’autre » finit dans mon cul. Assez ...
    ... rapide ! Je sens le sperme se répandre en moi, la sensation est toujours aussi étrange. Sa bite sort, et je sens qu’il remet le plug bien au fond, comme pour effacer toute trace de son passage (ou la garder en moi).
    
    Je reprends mes esprits, me relève pour vérifier mais l’inconnu s’est déjà rassit. Je n’arrive pas à déterminer où, mais peu importe, il restera un inconnu. J’enfile mon pantalon, j’essuie le sperme avec mon t-shirt et je mets simplement mon pull. Je file vers le fond du bus quand je me fais interpeler :
    
    « Hé mec, tu veux pas prendre un peu de temps avec nous ? »
    
    Ils sont deux. Un grand musclé noir dans la vingtaine, l’autre est blanc, un peu plus âgé mais plus grand encore. Ils me matent comme un bout de viande à dévorer. J’ai une boule d’excitation en moi, mais je préfère retourner vers le fond du bus pour calmer la situation.
    
    - Désolé, mais j’ai besoin de me reposer, leur dis-je.
    
    - Tu te fous de ma gueule ? Tu te fais troncher comme une pute dans ce bus par tout ce qui bouge, et tu viens nous refuser ?
    
    - Désolé, je dois y aller !
    
    Je saute pour vite rejoindre le fond, je sais ce que les gens sont capables de faire sur un coup d’excitation, mais je ne sais pas encore ce que je suis capable de faire.
    
    Alors que je me rassied, je constate qu’il est environ 18h et qu’on arrive à la gare de bus de Paris. 
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