Départ en week-end - Histoires de Sexe

Départ en week-end

... mari, j’espère que ses baisers valent les tiens !

Camille reste seule dans l’appartement. Comme elle a bien deux heures à tuer avant le retour de Samuel, elle décide de prendre une bain, non sans s’être servi un verre de vin. Elle n’a trouvé que du blanc dans le réfrigérateur, mais il est très bon.

Une fois dans l’eau chaude, envahie par la mousse et l’odeur de lavande qu’elle dégage, Camille se masse doucement les seins. Sensibles, ils durcissent vite, et Camille s’attarde de plus en plus sur les tétons effrontément érigés hors de l’eau. Elle les titille, les malmène, les caresse tour à tour. Les jambes écartées, Camille sent l’eau chaude caresser ses lèvres et son anus. Quand ses doigts agiles et curieux rejoignent enfin l’entrée de son vagin, elle sent son humidité intime se mélanger à l’eau du bain. Elle se met à penser à Samuel, elle le trouve très séduisant. Elle a très peur, et elle a trouvé son sexe vraiment très gros l’autre soir mais, rien que d’y penser, Camille se laisse aller à des saccades incroyables provoquées par l’orgasme qu’elle s’offre en (pré)préliminaires…

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Dans le train, rien de très glamour pour Lydia qui somnole en observant le reste du compartiment : un homme d’affaires, la cinquantaine, pas mal, mais qui ne décolle pas les yeux de « Les Échos ». Une femme d’à peu près son âge, assez jolie aussi, mais accompagné de deux marmots insupportables. Deux ados aussi, sûrement en crise, qui ne font que se rouler d’énormes patins sans même ...

... prendre conscience du monde qui les entoure… Ah ! C’est beau l’amour !

Lydia a envie de dire à cette jeune fille : « Si tu es aimée, tu as tout pour être heureuse, méfie-toi seulement qu’il ne devienne pas banquier ! »

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À la banque, justement, Samuel sort de son bureau et se dirige directement vers sa voiture. Direction la maison, une douche et une bonne soirée devant l’ordinateur en perspective : pas de femme, pas d’enfant, il va pouvoir retrouver un vieux plaisir qu’il ne s’était pas octroyé depuis longtemps.

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« Avignon, deux minutes d’arrêt ». Lydia n’arrive pas à dormir, le voyage va être long. Il fait chaud, elle déboutonne son gilet et se laisse aller à ses rêveries. Une femme d’une trentaine d’années lui demande du regard de pousser ses jambes pour s’asseoir en face d’elle. Elle a l’air sympathique, mais Lydia n’est pas d’humeur bavarde. Elle est tracassée par la soirée que vont passer sans elle Camille et Samuel.

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Samuel ne sait encore rien de cette soirée lorsqu’il gare la voiture et s’engouffre dans l’escalier. Dans l’appartement, Camille s’est servie dans l’armoire de Lydia et porte des sous-vêtements en dentelle bleue et vert pâle. Elle est allongée sur le canapé, les deux pieds croisés sur le dossier. Elle tourne la tête vers la porte lorsqu’elle entend la clé s’introduire dans la serrure.

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La jeune femme est accompagnée par un homme, probablement son homme. Il la rejoint après avoir rangé les bagages en bout de wagon, puis il ...