Astronome à mateur – Partie 2
Datte: 27/06/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
couplus,
inconnu,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
couple+f,
fbi,
Auteur: Bijanus, Source: Revebebe
... rentrant chez soi. Julie m’a demandé de passer la prendre à son boulot, elle aussi veut être à la maison au plus tôt, elle a d’ailleurs demandé à partir avant l’heure. Il fait étonnamment doux pour ce début novembre mais nous n’apprécions pas cet été indien, notre pensée est à tout ce qui va se passer dans les heures qui viennent. Nous arrivons alors que la nuit tombe à peine, nous jetons tous les deux un coup d’œil vers la fenêtre de Catherine, c’est éteint. Nous parlons peu, arrivés dans l’appartement j’allume mon ordinateur et par conséquent, le télescope auquel il est relié. Julie, elle, se plante derrière notre fenêtre, guettant son arrivée. Je positionne le télescope pour qu’il soit réglé sur la boîte aux lettres, il y a déjà bien longtemps que j’ai noté les réglages utiles pour observer Catherine chez elle par sa baie vitrée.
Plus d’une heure et toujours rien, nous sommes rassurés par la fenêtre toujours éteinte, on ne l’a pas manquée. J’ai allumé la télé, mais impossible de s’intéresser à ce qui s’y passe, quant à Julie, elle refuse de quitter sa place à la fenêtre.
— Elle arrive, je la vois !
Julie a tellement hurlé que je fais un bond dans mon fauteuil. Je me précipite à ses côtés à la fenêtre, Catherine est là dans l’allée menant à l’entrée de son immeuble. Nous prenons place devant l’écran de l’ordinateur qui renvoie l’image du télescope. Elle arrive dans le hall, ouvre sa boîte aux lettres, saisit un gros paquet de courrier, des pubs et lettres ...
... probablement mélangées. Elle fourre le tout sous son bras car elle est bien encombrée par son sac à main et un sac à provisions rempli.
Elle disparaît par la porte d’entrée, ce qui me laisse largement le temps de régler de nouveau la lunette vers son appartement en prenant bien soin de fermer le rideau autour.
La lumière apparaît d’abord diffuse par la baie vitrée, comme éclairée de loin par un couloir puis, quelques minutes plus tard, la porte-fenêtre s’illumine. Catherine apparaît, elle pose son sac à main sur le canapé et sa pile de courrier sur la table derrière. Elle commence alors à trier pubs et lettres, en ouvre une ou deux et arrive enfin au mot de Julie plié en quatre, le dernier de la pile. Elle regarde la feuille longuement puis avance vers sa porte-fenêtre.
C’est sûr, elle va fermer son volet roulant, paniquée d’être espionnée chez elle. Nos cœurs s’arrêtent, Julie s’agrippe à mon bras, plantant ses ongles dans ma chair.
Derrière sa vitre Catherine fouille du regard tout le voisinage, regarde de nouveau notre message et continue à scruter les environs. Son regard croise celui du télescope mais ne s’y arrête pas, ouf au moins elle ne nous a pas repérés. Finalement après un dernier coup d’œil à notre « courrier » son visage s’éclaire d’un sourire et elle pose le papier sur la petite table basse où se trouve son ordinateur resté là. Puis à notre grand soulagement, elle retourne à la table où se trouve le reste du courrier.
— Elle ne l’a pas mal pris, dis-je en ...