1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1098)


    Datte: 27/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... sexe et le couvre de simples petits baisers, ce qui le fit bander rapidement. Puis je m’exécutais, je vis apparaître devant mes yeux une queue ayant vite doublé de volume, plutôt longue et d'une épaisseur impressionnante, un véritable taureau, à la vue de ses énormes couilles pendantes ! Cet homme bandait vite et d'un coup de reins sec et puissant, il enfonça son pénis entre mes lèvres, emplissant ainsi ma bouche et l'entrée de ma gorge... J'étouffais... mais peu lui importe, tant qu'il put ainsi faire aller et venir son gros sexe dans la gaine chaude et humide de ma bouche soumise... Sa main pesa lourdement sur ma nuque et j’étais dans l'impossibilité de résister... Je commençais à paniquer car j'étouffais vraiment. L'air manquait... mais c'est alors avec soulagement que je sentis assez rapidement un flot épais emplir ma gorge... Il vint d'éjaculer et sa semence abondante se répandit dans ma bouche de putain… Il m’imposa de tout avaler et de lui nettoyer son gland et sa hampe. Puis son complice s’approcha et je dus faire la même chose quand enfin, une autre voix se fit entendre :
    
    - Tu peux l’envoyer c’est prêt !
    
    La corde fut détachée et on me tirait… J’avançais suivant mon meneur ayant encore du foutre qui coulait de la commissure de mes lèvres buccales….
    
    J’arrivais dans une sorte de box, dans lequel il me semblait qu’il y avait une litière de paille, on me fit tourner dans un autre sens, la sortie peut-être, et me revoilà à nouveau attachée à un anneau fiché ...
    ... dans le mur. La porte se referma sur moi, et on m’enleva le bandeau, enfin ! Le temps que mes yeux s’habituent à la lumière, je voyais en effet où j’étais… Une sorte d’étable ou écurie, dans un box effectivement… et la porte était celle des box des chevaux, avec une ouverture… Les mains étaient toujours liées dans le dos :
    
    - Tu peux te mettre sur tes pattes si tu veux, mais fais gaffe me dit l’homme devant moi, quand tu entends entrer, tu te mets immédiatement à quatre pattes sinon tu comprendras pourquoi !
    
    - Bien Monsieur, répondis-je !
    
    Avec un sourire de carnassier, flattant un de mes seins, me fixant dans les yeux, il me dit :
    
    - Toi ma belle, tu n’es pas comme les autres, je vais m’occuper de toi personnellement…
    
    L’homme, vêtu d’une salopette à la mode paysanne, des bottes crottées aux pieds, était âge de plus de soixante années, barbe hirsute, la cigarette jaune ‘maïs’ au coin de la bouche, des mains si larges qu’on aurait dit des cuisses… un nez épaté… il était entouré d’hommes plus jeunes dont certains étaient beaux, sentant la vigueur des jeunes années…
    
    - Tiens, c’est pour boire quand tu as soif me dit un plus jeune, m’apportant un baquet d’eau, la bouffe c’est plus tard…
    
    - Merci, Monsieur, répondis-je par instinct de bien élevée…qui fut suivi d’un immense éclat de rires de ces hommes qui se tapaient sur les cuisses en une franche rigolade.
    
    - En plus elle est polie la chienne, dit l’un d’entre eux, tu vois qu’elles aiment ça…
    
    En effet, je ne ...