1. La femme de Marc [4]


    Datte: 27/06/2018, Catégories: Anal Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: wizks, Source: xHamster

    ... refuse pas ce traitement. Mais j’ai pas l’impression qu’elle soit une adepte de ça, peut être même n’a-t-elle jamais essayé ! Je regarde alors son anus, tout serré, j’arrête de la baiser pour me baisser, écarter ses fesses, et cracher dessus. Sophie a l’air folle, super excitée, je pense qu’entre la situation et l’alcool, elle est vraiment déchaînée. Je me relève et remet ma queue dans son sexe brulant. En jetant un œil au salon on ne voit plus Marc.
    
    Sophie s’inquiète, s’il la cherche il pourrait regarder par une fenêtre en haut et peut-être nous entendre. On arrête notre baise un moment, elle remet son haut, laissant son soutif dehors. Sa tenue fait vraiment salope pour le coup, surtout son air qui attend la bite avec gourmandise… Je la trouve plus qu’érotique sur le moment, j’ai vraiment envie de la sodomiser. On rentre discrètement dans le salon et on s’approche du canapé. On entend rien, pas un bruit. Sophie appelle alors Marc. On entend un gémissement, provenant du canapé, Marc ...
    ... s’est endormi dessus. Sophie lui propose de monter dans leur chambre, mais il l’envoie bouler, de manière désagréable. Il a pas l’air bien, il a trop forcé sur l’alcool. Alors que Sophie lui parle, je relève sa jupe. Elle est appuyée sur le dossier du canapé, Marc ne peut voir que sa tête. En risquant un coup d’œil je vois qu’il est sur le ventre, et qu’il a vomi sur la moquette. Je n’y tiens plus, j’utilise la mouille de Sophie pour lubrifier son anus, et présente mon gland. Elle continue de dire à Marc qu’il serait mieux en haut, sa main vient me branler doucement, m’encourageant à continuer. Je rentre mon gland avec difficulté, pendant qu’elle parle, elle étouffe difficile un cri. Je ne bouge plus, laissant le temps de s’habituer. Puis je sors et rerentre. Elle a arrêté de parler, elle me tend son cul maintenant complètement, la tête enfouie dans les coussins du canapé. Je l’encule de plus en plus profondément, de plus en plus bruyamment.
    
    Quand on entend la porte vitrée s’ouvrir ! 
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