Perverse Florence
Datte: 27/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Hardcore,
Lesbienne
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... besoin d’un sexe, besoin d’un homme au bout, un homme qui me ravage, qui me détruise.
Je veux me sentir chienne, faire ce qu’il me demande, prendre sa bite dans la bouche, recevoir son foutre et l’avaler.
Je deviens salope quand j’ai envie de sexe.
J’aime les exciter, suivre leurs regards braqués sur ma poitrine et sur mes cuisses, j’aime les voir saliver, craquer, deviner la bosse dans le pantalon, la sentir grossir quand je me colle contre eux et que ma main la touche, la flatte, perverse et provocante…
Dès que je ressens leur excitation, que je perçois leur désir, concret, maximal, et qu’ils s’approchent, qu’ils me caressent ou m’embrassent pour me conquérir, je fonds et le déclic est irrémédiable, le point de non-retour est atteint, et je ne suis plus moi, mais une pauvre chose dégoulinante et avide qui n’attend que d’être dévorée…
J’adore cet instant d’abandon, je le fais durer tant que je peux, jusqu’à ce que mon désir explose, que je sente enfin leur sexe en moi, qu’il prenne le contrôle, sans limite, jusqu’à l’extase, le premier niveau de ma jouissance et que je revienne sur terre, apaisée pour un temps, prête à leur rendre la monnaie de leur pièce, bien que souvent ils ne s’aperçoivent de rien, je sais cacher mon jeu…
Oui, je suis ainsi, j’ai besoin d’un homme pour exploser ma libido, sinon, je suis infernale et odieuse, eux seuls arrivent à me calmer…
Il m’en faut un, c’est pour une urgence…
- Un chacun ?
- Perverse et salope jusqu’au bout ...
... des ongles… Je vais t’aimer toi… Oui, un ou plusieurs, qui nous fassent oublier la vie, qui nous fasse crier de plaisir…
- Tu le vois comment et où ce plaisir ? Il est quelle heure ? Tu as faim ?
- Au premier chez Jules. Bien fréquenté en principe, choix souvent assez large, Max sait ce que je cherche dès qu’il me voit. Il me sert un baby et m’oriente vers une table… Je prends le plateau qu’il prépare devant moi, bouteille et jus de fruit, rajoute un verre pour moi, pour que je l’apporte à l’heureux élu, en me penchant largement, et la conversation s’enclenche automatiquement…
- Tu es une sacrée femme…
- On va les vider ?...
- Ils sont là pour ça…
- Et nous aussi, alors bingo !
Nous prenons une douche ensemble, histoire de garder la main, puis on se coiffe, on s’habille, j’évite le soutif, passe un haut ouvert sur le monde, on mange une salade en riant, le bonheur quoi, quand on sait qu’on va y passer…
- Jusqu’où tu es allée quand tu travaillais avec Jade ?
- Oh, bien au début c’était pratiquement de l’Escort, pas question de prostitution, tarifée à 500 la soirée par fille… Ensuite c’était 1500 euros chacune.
- Tu faisais quoi pour ce prix ?
- Tout ou presque, avec notre hôte et ses invités, toute la soirée. On suivait le rythme, on improvisait, on obéissait, on se laissait embrasser, peloter, emporter dans une chambre, et ça finissait souvent en orgie, toute le monde avec tout le monde, un libre-service. Jamais en dehors du périmètre défini. ...