1. Perverse Florence


    Datte: 27/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe Hardcore, Lesbienne Auteur: marika842010, Source: xHamster

    ... rien, qu’à me donner à fond, et sentir sa semence m’envahir…
    
    - Oui, ma chérie, Charles a fait ce que je ne peux faire… Il m’a remplacé en toi un instant, mais pas dans ton cœur… Je le remercie de nous avoir prêté sa virilité…
    
    J’ai aimé votre hors d’œuvre, j’ai apprécié Florence, quel plaisir de la sentir vibrer, j’ai joué le jeu, comme si c’était toi, je l’ai prise comme il vient de te le faire…
    
    Que de tendresse dans nos échanges, que de complicité entre nous…
    
    - Oui, merci à nos hommes, virils et performants, Charles tu sais que je t’aime pour avoir consenti à cela. Oui, te voir faire un enfant à une autre n’est pas banal, et j’ai senti mon ventre se serrer en t voyant la prendre et la performer, la faire jouir comme avec moi, l’entendre crier ses orgasmes dans tes bras… Oui, cet enfant est le leur, sans conteste, elle l’a mérité en attendant mon oui… ce qui est drôle c’est que si tout se passe bien, nous aurons des jumeaux, un blond, un roux, mais la nature a parfois des lubies, allez savoir…
    
    Maintenant j’aimerais fêter cela, par un verre de champagne, en attendant le second souffle de mon mari… Le vrai !
    
    Etendus tous les quatre, enchevêtrés, nous buvions à petites gorgées ce délicieux breuvage, Karine était aux anges, caressant son ventre sans y penser, comptant les heures…
    
    Vers trois heures, Charles vint près de moi, Karine s’était endormie dans les bras de son mari.
    
    Je me laissais conduire, le caressais tendrement, il revenait… Lorsque je le ...
    ... pris en bouche, il s’érigea en plein, droit et fier… Charles caressait ma chatte, je m’offris à sa langue, je coulais déjà avant de commencer… Il me sodomisa, et je jouis sans faire de bruit… Puis il me posa au sol et le planta son dard en levrette, position qu’il aimait comme moi… Il me possédait doucement, dans la pénombre, on sentait les vagues nous bercer, je souris… Mon bébé aura le pied marin… Le sien aussi…
    
    Nous sortîmes sur le pont, il faisait bon, il disposa des oreillers, un plaid, on se glissa dessous…
    
    - Je t’aime, je le veux cet enfant de toi…
    
    - Je t’aime aussi, prends-moi, je suis prête, je suis trempée de désir…
    
    Dans la nuit, le visage éclairé par la lune, je sentis le sexe écarter mes grandes lèvres… Il se frotta dans ma vallée, réveillant toute la troupe, ma vulve s’ouvrit, mon vagin se mit à bailler, le gland franchit la porte, un doigt me faisait vibrer, tournoyant sur mon clitoris, le coquin avait des ressources… Je m’ouvrais, assise face à lui, dans cette position où nos sexes s’emboîtent… Il me prit lentement, glissant dans mon antre, jusqu’au fond… je frissonnais, non de peur, mais de bien-être, de vivre pleinement cet instant entre nous… Concevoir, faire, l’enfant, mon bébé…
    
    Je savourais chaque mouvement, il glissait, ressortait, comme un métronome, je le sentis se tendre…
    
    - Je vais venir en toi, je veux être doux, tendre, comme un père…
    
    - Viens mon amour, créons ce bébé, plante-moi ce dard et féconde-moi…
    
    Il saisit mes fesses et ...