Perverse Florence
Datte: 27/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Hardcore,
Lesbienne
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... fut chez lui, belle villa des faubourgs de la ville, piscine et parc arboré, un havre de repos où je me sentis bien dès ce premier soir…
Nous étions moins stressés, il me fit l’amour tendrement, pleinement et sa tendresse m’emporta loin de mes tourments. Au matin, il me semblait le connaître depuis des années, je ne pouvais partir, il m’invita à rester autant que je le voulais…
Nos nuits duraient des jours, nos jours furent des semaines, je jouissais sous ses doigts, sa moustache me grisait, il sentait le large, l’océan, les fleurs des îles…
Nous possédions le même bateau, à quelques places l’un de l’autre. Nous partîmes le week-end suivant, cela dura la semaine, nichés dans le creux d’une île, plein sud, le soleil s’éternisait et il me comblait d’attentions, nous vivions nus à bord, j’étais heureuse…
Nous parlions comme des amis d’enfance, de tout, de la vie, de nos espoirs, un peu de nos accidents, de nos rêves évanouis, de ceux qui les remplaçaient.
Chose étrange, c’étaient les mêmes à quelques points près…
Trouver l’âme sœur, vivre un second souffle, choisir un port d’attache, calmer nos craintes, regarder un peu plus loin pour la première fois depuis longtemps, pour moi, avoir un enfant, un mari… S’aimer…
Il connaissait ma réputation, je lui ouvris mon cœur et lui dévoila les détails.
Il me confia ses échecs, financiers, matrimoniaux, m’expliqua sa femme volage après un temps de bonheur, son métier qui le prenait, l’enfant qui ne venait pas… ...
... Elle lui avait caché une opération ancienne l’avait rendue stérile… Il perdit pied, ce mensonge le conduisit à friser la faillite, pendant qu’elle le cocufiait sans se cacher…
Ils se séparèrent… Il perdit ses amis, se réfugia dans son bateau et combattit pour refaire surface.
Il rattrapa ses pertes financières, changea d’associé, repartant presque à 0.
Il mit deux ans seulement pour revenir là où il en était avant…
Son affaire fonctionnait seule, il vivait de ses rentes, était aussi à l’abri du besoin…
Nous en étions au même point. Une partie de nos vies réussie, une autre en devenir, des rêves pleins la tête… Mais la sagesse nous dictait d’aller doucement…
Ses questions au sujet de mon passé étaient légitimes, non, je n’étais pas une pute rangée des voitures, d’abord par mon âge, ensuite j’avais gagné mon argent honnêtement, déclarant mes revenus, le sexe n’avait pas dépassé mes autres activités auxquelles je tenais, le restaurant, la boutique, l’atelier de création, que mes gérants menaient à bien désormais…
Je roulais aussi en Mercedes, la même que lui, un autre point commun…
Il sentit mon désir de fonder une vraie famille, lui à 45 ans rêvait d’une nouvelle vie.
Nous sommes restés deux mois à chasser nos doutes, tantôt chez moi, tantôt chez lui, au port, retrouvant les anciennes habitudes, quand je me cachais moi aussi dans mon voilier, seule, pour échapper à la vie…
Ces deux mois furent délicieux, je me trouvais plus active, posée, je ...