1. Katherine 10


    Datte: 26/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: DXD, Source: Hds

    ... sentir l’incroyable tension sexuelle qu’il y a entre nous, c’est pour ça. »
    
    On était à table, et la grand-mère de Katherine nous avait demandé (pour la quatrième fois), si nous étions en couple. Kat avait répondu non, mais cette fois-ci l’exaspération avait légèrement pointé dans sa voix. Je lui répondis, baissant légèrement la voix.
    
    « Faut dire aussi que t’es ultra-bonne dans cette robe, je pense que je pourrais te baiser toute la journée. »
    
    Elle me jeta un coup d’oeil amusé.
    
    « Ca t’a pas suffi la séance vidage de couilles dans la salle de bains ? »
    
    « T’es mignonne toi, c’était y a une heure, ça fait donc un peu près 59 minutes que je suis de nouveau au taquet. »
    
    Elle eut un petit rire.
    
    « Ok, mon grand. Rejoins moi dans le placard du salon, dans dix minutes, ça te va ? »
    
    « A toute de suite, beauté. »
    
    Je restai un moment seul à table. Katherine était entrée dans le salon depuis très exactement une minute et trente-deux secondes que je quittai la table extérieure pour la rejoindre. Je traversai son salon, ouvris la porte d’un grand placard. Aussitôt je fus happé, et entraîné à l’intérieur.
    
    « T’en as mis du temps, souffla Katherine. »
    
    « T’es au courant que ça fait qu’une minute que... »
    
    Elle me fit taire en m’embrassant sauvagement. Dans ce placard nous avions à peine la place de tenir nous deux, nous étions étroitement collés l’un à l’autre, c’était terriblement excitant. Nous nous embrassions avec passion et ardeur tout en faisant courir ...
    ... nos mains respectives sur le corps de l’autre. Je massais son fessier si bombé sous sa robe, et ça me faisait bander de plus en plus fort. Katherine le sentait bien, mais préférait continuer à m’embrasser langoureusement que s’occuper de mon sexe.
    
    Cela faisait quelques minutes qu’on était dans ce placard, lorsque nous entendîmes soudain la voix du père de Katherine qui retentit dans le salon :
    
    « Chérie ! Elle est où ta fille ? »
    
    « Je sais pas ! Sûrement avec son copain ! »
    
    Nous interrompîmes notre baiser, et restâmes un moment pétrifiés, n’osant plus bouger.
    
    « Ok ! Bon alors, ils sont où ces couverts à poisson ? »
    
    « Dans le grand placard du salon ! Ouvre le, tu les trouveras tout de suite. »
    
    Katherine et moi nous observâmes, un air de terreur dans le regard. Les bruits de pas du père de Katherine se rapprochèrent du placard, il était à deux mètres lorsque :
    
    « Ah non ! Ils sont dans le buffet, excuse moi ! »
    
    Nous entendîmes le père de Katherine s’éloigner en râlant. La brune et moi nous regardâmes, n’osant pas exprimer notre soulagement. On avait eu très chaud. Lorsque nous entendîmes le père de Katherine quitter le salon, je dis à celle-ci :
    
    « Bon faut qu’on dégage avant qu’il revienne. »
    
    Elle me retint.
    
    « Non. »
    
    « Mais... »
    
    « J’ai trop envie, défonce moi maintenant ! »
    
    « Mais... »
    
    « Quoi ? Qu’est-ce qu’il se passe ? T’as perdu tes couilles ou ... »
    
    Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que je la plaquai contre la paroi du ...
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