1. B o d’y and soul


    Datte: 25/06/2018, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... devant lui à le sucer. La partition m'était familière. Je déroulais. Nous fûmes bientôt quasi nus. J'étais époustouflé que ce petit homme aux gestes lents et si cérémonieux naguère put en instant se transformer en un satyre précis et vigoureux. Il me sautât avec dextérité tel on enlève une forteresse. Quel bon amant. Il ne négligeât rien en un temps record. Je fus notamment sodomisée tout au final. Ces derniers temps j'avais peu concédé de mon petit trou à un homme. J'étais comblée. C'était le bienvenu.
    
    Ce cochon usât, abusât de moi. Il était inépuisable et il dut prendre sur lui de ne pas poursuivre. Il faisait partie de ces sexagénaires infatigables au lit. Il quittât un instant la pièce me laissant toute nue sur le divan avec mes vêtements épars. Je me remettais peu à peu de cette tornade. La tête me tournait encore. L'idée me traversât qu'Armand lui-même avait été victime de son perfide nectar. En effet revenu à lui-même vêtu et manifestement confus il m'avouât qu'il ne savait ce qui lui avait pris. Les trois verres de Cognac l'avait comme rendu fou. Boire ne lui réussissait pas.
    
    Je lui dis avec entière sincérité que je ...
    ... le comprenais. Qu'il n'y avait pas à mal. Qu'il était un homme et qu'indûment je l'avais excité avec ma minijupe. J’avais trop l'habitude de susciter pareille réaction chez les hommes. Bref la chair est faible et nos chers romans nous enseignent cela. Il sourit à ma dernière remarque et convint que j'avais bien retenu la leçon et savais retirer de chaque fait de l'existence un enseignement philosophique maintenant. Ce compliment qui parut sincère m'allât droit au cœur. Aussi le laissais-je à nouveau m'embrasser et me caresser. Tout cela lui était du.
    
    Finalement nous finîmes au lit à l'heure suivante. Il fut confirmé que ce docte amant était un chaud lapin. Depuis longtemps on ne m'avait autant bourré le cul et la chatte. Point en reste il put s'aviser que je savais sucer aussi. Que ma réputation là-bas au marché n'était point surfaite. Ce cochon au bout du compte me révélât qu'il m'avait toujours désiré. Je tombais des nues. Manifestement mon professeur chéri n'avait jamais été désintéressé. Je pouvais lui en vouloir mais décidément faisant la part des choses je trouvais normal qu'il y eut échange entre mon corps et son esprit. 
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