1. Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe (2)


    Datte: 25/06/2018, Catégories: Erotique, Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... détendue, savourant mon sexe qui grossit sous son index folâtre. Tout naturellement, on se met tête-bêche, son corps allongé sur moi me fait sentir qu’elle est vivante, pleine de sensualité. Elle agit avec sa langue comme avec son doigt, tout en douceur, très lentement, dégustant minutieusement ma queue de plus en plus tendue. Je suçote ses lèvres intimes, titillant juste de temps en temps son clitoris déjà sorti de son petit capuchon de chair.
    
    Son goût de miel et de pêche est savoureux et je lape plus fort, elle n’est pas en reste et m’embouche désormais plus fort, je sens la succion de sa bouche, aspiration divine qui me fait bouillonner de l’intérieur.
    
    Tacitement, on se sépare, mais c’est pour nous embrasser, elle me suce la langue comme si elle cherchait à aspirer toutes les traces de sa mouille dont je suis encore enduit...
    
    — Ah, j’adore ce que tu me fais.
    
    — Et tu adores ton goût aussi.
    
    — Oui, souvent quand je me masturbe, je goûte mes doigts, ça m’affole, j’adore.
    
    — Moi, ce qui m’affole c’est tes mots, tes confidences, tu es si vraie, si confiante.
    
    — C’est juste parce qu’avec toi, je sais, sans pouvoir l’expliquer que l’on peut tout se dire, tout s’avouer.
    
    — C’est pareil pour moi, qu’importe qu’on ne se connaisse que depuis peu de temps, je suis si à l’aise avec toi.
    
    On se sourit et on s’embrasse à nouveau. Puis elle s’écarte et me présente soudain ses doigts humides du plaisir qu’elle est allée chercher entre ses cuisses. On lèche ensemble ...
    ... ses doigts délicieux en nous fixant du regard.
    
    — Putain, tu me fais bander !
    
    — J’espère bien, j’aime ta grosse queue.
    
    Je vous l’ai dit, quand on sait, on devient sûr de soi, aucune honte, aucune cachotterie entre nous, simplement le plaisir partagé, la communion des sens.
    
    Elle répète encore son geste et nous partageons de la même façon. Mon sexe bat contre son bas-ventre et je quitte sa bouche pour aller titiller, mordiller, sucer, déguster ses tétons durs et pointés.
    
    Elle gémit sans retenue et j’aime cela, je fais d’ailleurs pareil quand elle m’empoigne le paquet d’une main assurée,
    
    — Ça m’a l’air bien rempli ça !
    
    — A cause de toi ! Et c’est toi que je vais remplir.
    
    — J’y compte bien petit pervers.
    
    — Tu n’as rien vu !
    
    — J’espère bien !
    
    Durant ce court dialogue qui nous a excités tous les deux, elle m’a attiré sur elle, cuisses écartées et guide ma queue tendue en elle. J’ai l’impression de rentrer au port après une longue traversée quand je m’introduis en elle ; si trempée, si chaude, elle me serre contre elle, je lèche ses seins et les mordille quand elle me confirme adorer la sensation.
    
    — Mordille, j’adore, c’est fort, c’est bon.
    
    — Ah j’adore ta chatte,
    
    — Bourre-moi bien chéri, j’adore, t’es bon.
    
    Je me mets au diapason et m’exécute avec joie. Bien positionné, je ne me retiens pas et m’enfonce de tout mon long, de toute ma puissance comme je n’ai jamais pu le faire auparavant. Je sors presque entièrement de sa chatte avant de me ...