Joyeux Noël
Datte: 25/06/2018,
Catégories:
fh,
froid,
fête,
conte,
délire,
Humour
Auteur: Herminie, Source: Revebebe
... suivent le galbe du mollet et la jeune femme profite de la chaleur qu’elles diffusent à travers son bas rouge. Une main rencontre jupes et jupons. Froissement.
— Père Noël… que faites-vous ?
— Je tâte votre robe, l’étoffe en est moelleuse.
La main s’immisce sous les épaisseurs et suit les courbes de la jambe, jusqu’à l’endroit où le bas finit et où la peau est nue. Marie-Groseille a peine à garder son équilibre.
— Père Noël… que faites-vous, là ?
— Je cherche le petit pot de beurre.
Non, ça ne doit pas être ça. Elle respire plus fort.
— Mais Père Noël… je n’ai pas amené de petit pot de beurre.
— Ah bon ? Vraiment ?
La main est parvenue en haut des cuisses. Une fine barrière de tissu s’interpose encore, mais elle porte déjà les traces palpables du désir de la jeune femme qui vacille dangereusement.
— Oui… j’ai amené du foie gras… et la galette des rois…
— Comme c’est intéressant…
Le Père Noël écarte le tissu et ses doigts se glissent dans la fente humide et brûlante. Il murmure :
— J’ai trouvé la fève, je crois…
Marie-Groseille oscille à présent, dans un balancement régulier qui accompagne la caresse insistante de son partenaire. La fève est tour à tour effleurée, enveloppée, pressée, relâchée, ne laissant aucun répit à la jeune femme. À mesure que son plaisir s’intensifie, ses mouvements prennent de l’ampleur. Son buste heurte parfois le visage de l’homme, et y reste collé de plus en plus longtemps, comme aimanté par la force d’un regard ...
... impérieux.
La main quitte le lieu qu’elle fêtait avec tant de douceur et Marie-Groseille gémit de frustration.
— Père Noël… que tu es cruel !
— C’est pour mieux t’éplucher, mon enfant, tu es fagotée comme un oignon.
Et en effet, les bas glissent le long de ses jambes, les jupes et jupons tombent un à un, le surcot est défait et tombe à son tour. En dernier, le Père Noël tire sur la rubanette et la chemisette choit, dévoilant des seins ronds, blancs, aux petites pointes rouges comme deux groseilles, dont sa bouche s’empare avec empressement.
— Père Noël… que tu as une grande bouche… non, non, ne dis rien… je sais… c’est pour mieux me manger…
— Te déguster, mon enfant, te déguster…
Sans plus attendre, il allonge sa proie consentante sur les peaux de loup et pas une parcelle du corps nu de la jeune femme n’échappe aux lèvres brûlantes et à la langue indiscrète de son ravisseur. Elle est léchée, sucée, aspirée, fouillée, happée, avalée, ses sens bouleversés, pour son plus grand plaisir. La barbe soyeuse glisse sur sa peau et ses vagues effleurements soulèvent des déferlantes de désir.
— Père Noël… que tu as une barbe douce !
Le Père Noël ne répond rien. A-t-il seulement entendu ?
Marie-Groseille, impatiente, l’enserre entre ses jambes ; il la pénètre enfin, profondément, lui arrachant un cri de bonheur.
— Père Noël… je ne t’ai pas… ah… demandé…
— Qu… quoi… mon… enfant ?
— Par où… hou… hou… es-tu… uh… uuuuuhh… entré ?
— Par la cheminée, mon enfant… la… ...