1. La maison abandonnée


    Datte: 24/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Osoave, Source: Hds

    ... retenant sa poitrine abondante. Je bandais encore plus que jamais.
    
    « J’ai chaud.. »nous dit-elle. Elle s’assit à califourchon sur moi, sur mon torse, présentant son cul juste au dessous de mon visage. Elle faisait face à ma queue et mes couilles.
    
    « Céline, on le punit? » lui demanda-t-elle.
    
    « Oui, vas-y » répondit Céline, qui fixait mon entrejambe. Je pense que c’est la première fois qu’elle voyait un sexe d’homme et elle n’en perdait pas une miette.
    
    Caché par le dos de Vanessa, je ne voyais pas ce qui se passait.
    
    « Yann, mets les bras au dessus de ta tête. Céline tient les lui fort. » ordonna Vanessa.
    
    J’étais bloqué, prisonnier de mes deux copines.
    
    Soudain une douleur aux testicules. Vanessa m’avait frappé. Mon corps tenta de se plier, mais j’étais retenu par le poids de Vanessa et par l’étreinte de Céline.
    
    « Mince, je t’ai fait mal… » me dit Vanessa en me regardant. J’avais les larmes aux yeux.
    
    « Pardon » ajouta-t-elle. « Je vais trop loin. »
    
    Elle se leva et Céline libéra mes bras.
    
    « Désolé… » me dit-elle.
    
    « Lève-toi et mets les mains derrière ton dos. » me dit Céline.
    
    Une fois debout, les filles s’approchèrent de moi.
    
    « Tu as déjà touché une bite? » demanda Vanessa à Céline.
    
    « Non jamais. » répondit Céline.
    
    « Tu veux le branler? » dit Vanessa.
    
    « Oui, j’ai envie.» Dit Céline.
    
    Ma queue perlait de liquide séminal, je frissonnais. Aucune fille ne m’avait jamais touché.
    
    Céline prit mon sexe dans sa main droite, à pleine ...
    ... main et commença des va-et-vient, doucement et lentement.
    
    J’en tremblais. Mains derrière le dos, obligé de subir, c’était à la fois une torture et une jouissance délicieuse.
    
    Elle alla plus vite, puis ralentit. Elle jouait. Vanessa regardait mes réactions.
    
    « Vas très vite » lui dit-elle. Et Céline me branlait à fond.
    
    « Ralentis. » Le rythme diminuait.
    
    « Branle-le fort » J’étais leur jouet entre leurs mains.
    
    Et à seize ans, on ne résiste pas longtemps.
    
    J’était resté silencieux jusque là, spectateur de ma soumission.
    
    « Les filles, je vais jouir. » déclarai-je au bout de trois ou quatre minutes…
    
    « Laisse-moi faire… » dit Vanessa à Céline.
    
    Celle-ci lâcha ma queue et Vanessa prit le relais. Elle mit une main sur mes couilles, les pressa et de l’autre me branla d’une main ferme et sûre, vigoureusement.
    
    Je lâchai un râle: « Je jouis ! » Et au moment où ma semence sortait, juste lors de mon éjaculation, Vanessa lâcha mes couilles, ma bite et me laissa me répandre par terre. Mon foutre blanc s’étala sur le plancher sous le regard amusé des deux filles.
    
    « Alors, mon final t’a plu? Dis-moi merci…» me dit Vanessa.
    
    « Merci Vanessa, merci les filles. C’était torride. »
    
    Le reste, ce sont des détails, oubliés. Je me rhabillai. Les choses redevenaient normales. Nous sortîmes de la maison et sans trop parler, retournâmes chacun chez soi. Ce qui est curieux, c’est que nous n’en avons jamais plus parler. Il ne s’est plus jamais rien passé non plus.
    
    Cela ...