Expérience à la piscine (1)
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Chlogor, Source: Xstory
... rien à craindre, qu’elle n’avait pas ouvert les yeux depuis tout à l’heure. J’en profitai de lui pincer les tétons que j’avais remarqué sensibles, et elle ne put retenir un léger gémissement, aussitôt entendu et remarqué par notre spectatrice qui accéléra légèrement ses caresses. Mes mouvements de pénétration produisaient maintenant un léger bruit de succion, mais mon amante semblait à présent décidée à profiter, tant pis pour les conséquences. Elle semblait d’ailleurs proche de la jouissance car elle serrait mes poignets d’une prise crispée, et son souffle était court et haletant. J’étais moi-même stupéfait de ne pas encore avoir joui, je me dis que c’était probablement dû à l’atmosphère relaxante de la salle. Toujours est-il que j’avais sérieusement besoin de jouir, et que malgré mon endurance de la soirée, je n’allais pas tenir très longtemps. Je sortis alors mon arme secrète, autant destinée à abréger ses souffrances que les miennes, devenues insoutenables. Je commençai alors à lui chuchoter à l’oreille à quel point j’étais excité, à quel point j’avais envie d’elle depuis des semaines, qu’elle avait réussi à me rendre fou. ...
... Je lui dis que j’adorais son corps, que je voulais le caresser sans relâche et que j’allais bientôt jouir en elle tant elle m’avait excité. Sentant son souffle s’accélérer subitement, j’ajoutai que la femme nous observait depuis le début et qu’elle se caressait en nous regardant depuis un long moment. Ce fut sûrement cette phrase qui déclencha la suite car levant les yeux, elle croisa le regard de la femme assise plus loin et je sentis immédiatement son intimité se contracter autour de mon sexe. Elle fut prise de spasmes en lâchant un long gémissement pour une fois incontrôlé à pleine voix, déclenchant chez moi un orgasme d’une puissance insoupçonnable, me faisant perdre pied pendant de longues secondes alors que je libérais mon jus en elle. Il nous fallut un long moment avant de pouvoir reprendre notre souffle, affalés l’un sur l’autre, sans force pour bouger. Je remarquai d’un œil vitreux que la femme s’en allait tout en nous lançant un merci radieux. Nous restâmes encore quelques minutes sans bouger et en silence, puis je lui dis d’une voix éteinte:
- Enchanté, moi c’est Paul.
- Enchantée Paul, moi c’est Marie.
Fin.