1. La fête, et...


    Datte: 22/06/2018, Catégories: ff, fh, strip, photofilm, 69, fsodo, Auteur: Saturne, Source: Revebebe

    ... faire jouir avec mes caresses. De plus, cette fellation a attisé le feu qui me brûle ; je veux jouir à nouveau, pleinement. Je prends l’initiative à nouveau et lui demande, la bouche pleine :
    
    — Bré-ber-ba-bif ?
    
    Sans se déplacer, il sort une boîte du tiroir du bureau. Je lui en enfile un avec deux doigts puis vais m’agenouiller sur le canapé du salon, reins cambrés. Mon appétit sexuel exacerbé m’ôte toute pudeur. Il me rejoint, pose ses mains doucement sur mes hanches, me pénètre progressivement, augmente doucement son rythme. Son sexe me remplit bien.
    
    Il me besogne lentement depuis un long moment ; je commence à voir poindre mon plaisir. Les sensations que je ressens vont crescendo. À chacun de ses mouvements vers l’avant je pousse mes fesses vers l’arrière pour augmenter la pénétration, mais il bloque mon mouvement avec ses deux mains. Encore une fois, ce salaud me fait languir : à trois reprises déjà il a failli déclencher mon orgasme, mais il a immédiatement ralenti son rythme.
    
    J’ai la gorge nouée à force d’attendre. Je me résous à prendre une part encore plus active dans la pénétration en contractant mes muscles vaginaux à chacun de ses va-et-vient. Il doit le sentir et ne peut l’empêcher, mais fait comme si de rien n’était. Je double la mise : je passe une main entre mes jambes pour venir lui caresser les testicules ; rien n’y fait ! L’attente devient insupportable, presque douloureuse… Il faut que je jouisse vite, maintenant ; il me rend folle avec son petit ...
    ... jeu.
    
    — Je veux jouir, qu’attendez-vous ?
    
    Il a un petit rire :
    
    — Que tu me le demandes gentiment.
    — S’il vous plaît.
    
    Le salaud ne change pas de rythme. Je reformule :
    
    — Je vous en supplie, faites-moi jouir…
    
    Michel commence aussitôt une escalade du plaisir, prend une cadence de plus en plus rapide. Les chocs sont violents ; je ne veux plus qu’il s’arrête sinon je vais devenir folle, aussi je l’encourage :
    
    — Plus fort, bourre-moi !
    
    C’est ce qu’il fait alors, et là je sens très vite une onde électrique qui me traverse le corps, me secoue pendant que je crie comme une malade. Les spasmes durent longtemps. Puis je me calme à nouveau. J’ai mon compte. Je n’ai plus envie de remettre le couvert, mais je prends conscience que lui n’a pas encore joui. Dans le feu de l’action, je l’ai tutoyé ; je m’en veux : je veux garder mes distances, du moins au niveau du langage.
    
    Je suis toujours en position de levrette, le cul dressé, et il me caresse les fesses, les hanches avec douceur. Puis soudain je sens sa langue revenir sur mon œillet. Je commence à m’habituer à cette nouvelle caresse : j’ai envie qu’il fouille à nouveau mon petit cul avec sa langue ; c’est ce qu’il fait avec application. Je ronronne de plaisir. Il ne s’est pas passé dix minutes depuis mon précédent orgasme que j’ai déjà le bas-ventre qui recommence à fourmiller. Cette caresse me plaît de plus en plus… J’écarte mes fesses avec mes mains pour lui faciliter l’accès à mon anus.
    
    Je sens un premier ...