1. La fête, et...


    Datte: 22/06/2018, Catégories: ff, fh, strip, photofilm, 69, fsodo, Auteur: Saturne, Source: Revebebe

    ... devrais avoir honte d’être dans un tel état, sachant ce qu’il représente pour moi, mais depuis un bon moment c’est mon corps qui commande, le cerveau ne peut que constater. Ces caresses sont d’une efficacité inattendue, mais je voudrais qu’il me fouille encore plus profondément, aussi je me cambre au maximum, lui offrant un accès total à mon intimité. Sa langue fait le tour de mon pubis puis s’insère dans la raie de mes fesses. Jamais auparavant je n’aurais accepté ce genre de caresse, mais je suis dans un tel état que, bien au contraire, je tends mes fesses pour mieux ressentir sa caresse. Je me remémore le jour où il avait regardé mes fesses pendant que je cherchais des assiettes dans le vaisselier ; aujourd’hui, je tends mes fesses pour qu’il puisse se régaler les papilles et me faire jouir intensément.
    
    Il pose sa langue sur mon petit trou ; je franchis un nouveau stade dans mon excitation. Avec mes deux mains j’écarte mes fesses pour que sa langue circule plus facilement ; c’est bien ce qui se passe : sa langue virevolte dans tous les sens et transcende mes sensations, elle tente de pénétrer doucement mon anus. La première impression n’est pas agréable, mais j’ai déjà acquis la certitude que ce vieux cochon saura me faire jouir à coup sûr. Je voudrais me mettre à quatre pattes pour lui donner un accès plus facile à mon petit trou, mais je n’ose pas.
    
    Plus que jamais, mon corps réclame, mais mon cerveau ne veut rien lui demander : il y a trop de honte en moi, honte ...
    ... de me donner à un vieux cochon, honte de lui laisser faire ce qu’aucun de mes amants n’a fait avant lui, honte de me comporter comme une chienne en chaleur et d’avoir perdu toute pudeur.
    
    Alors que je me sens décoller, il abandonne mon anus pour revenir vers le mont de Vénus. Les sensations sont différentes, mais je retrouve vite le même niveau d’excitation que précédemment. Sa langue explore maintenant mes grandes lèvres avec lenteur ; je suis en sueur, j’attends la délivrance, mais je vois bien qu’il me fait languir : cela ne contribue pas à arranger mon état. Il s’attaque aux petites lèvres, très doucement, sans jamais aller jusqu’au clitoris. Je n’en peux plus ; c’est trop de sensations ! Je commence à gémir et le supplie :
    
    — S’il vous plaît, je vous en prie…
    
    La pudeur m’empêche de continuer ma phrase. Il attendait que je le supplie, il savait que je le ferais ; alors, simultanément, il pose sa bouche sur mon clitoris et insère ses doigts dans mon sexe tellement dilaté qu’il n’a pas à forcer pour me pénétrer. Dans les quelques secondes qui suivent, mon corps est parcouru de spasmes violents ; je vois des éclairs, je crie, j’oublie de respirer, puis, après un très long moment, je reste inerte, secouée par intermittence de petits spasmes, reprenant ma respiration difficilement.
    
    J’ai repris le visionnage du diaporama ; il me trouble toujours autant. Après quelques minutes, mon ventre est à nouveau dans l’attente : cet orgasme, aussi intense qu’il a été, ne lui ...
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