1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1224)


    Datte: 22/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... plus au moins rapides, je Le léchais, je Le savourais comme une gourmandise avec ordre de Le faire jouir mais que cela dure un bon moment. Au bout d’un certain temps, Il se vida en moi en de longs jets saccadés de Sa délicieuse semence que j’adorais avaler...
    
    Une fois le repas fini, la soirée vira en une véritable orgie. Mes sœurs et frères de soumission et moi-même, étions à la disposition des invités. Nous fûmes doigtés vaginalement ou analement, fistés, baisés par tous nos trous de chiens et chiennes. Une vraie débauche, luxure animale comme je l’avais toujours rêvé dans ma condition. Je fus prise dans mes trois orifices par presque tous les Dominants présents qui usaient et abusaient de mon corps, baisée de partout, en double pénétration pendant qu’un autre me baisait la bouche. Je dégoulinais de sperme. Parfois mes frères venaient me lécher le corps pour me l’enlever. Mais aussi on m’ordonnait parfois de lécher le sperme au sol ou même de lécher un cul d’un soumis qui venait de se faire sodomiser et dont le foutre du dominant sortait de son anus. Et tout cela sans jamais pouvoir jouir... On me banda les yeux ...
    ... et on m’installa sur une table et de nouveau je fus saillie et prise sans ménagement par des hommes en rut, doigtée par des femmes domina. A un moment, on me retourna, mise à quatre pattes, je sentis une grosse verge me prendre, j’avais l’impression d’être déchirée de l’intérieur et je ne pus retenir un hurlement de douleur mais j’entendis, au même moment, la voix de Maitre dans mon oreille me disant qu’Il était en face de moi et Il me donna l’ordre de Le sucer, ce que je fis. D’un côté, je me faisais défoncer par cette grosse bite qui me labourait littéralement le cul profondément et de l’autre le Noble qui me baisait la bouche bestialement comme s’il était dans ma chatte ou dans mon cul. Et je sentis l’autre homme accélérer ses mouvements et enfin se vider dans mon cul jusqu’au fond de mes entrailles, je sentais sa chaude semence s’écouler. Et j’entendis cet homme dire au Châtelain que j’étais une bonne salope en chaleurs, bonne à baiser et recevoir du foutre, que je n’étais qu’un vide-couilles, et qu’il aimerait continuer toute la nuit... Monsieur le Marquis finit par se vider de nouveau en moi …
    
    (A suivre …) 
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