Carlos
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
hff,
h,
ff,
ffh,
Collègues / Travail
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
massage,
rasage,
Oral
pénétratio,
inithf,
Auteur: Last Cars, Source: Revebebe
... offert entre les jambes largement écartées.
Certes, j’ai déjà vu des sexes de femmes, mais jamais au grand jamais je n’ai ressenti une telle émotion, résultat de l’addition de la charge érotique de la situation et de la beauté de cette cliente. Heureusement que je porte une blouse un peu ample, sinon on pourrait remarquer une sacrée bosse au niveau de mon bas-ventre. Je sens justement le regard de la femme qui se pose sur moi. Je fais un effort considérable pour paraître n’apporter qu’un intérêt purement professionnel à la scène qui se déroule sous mes yeux probablement un peu trop exorbités.
Tant que je n’ai rien à dire, ça peut encore aller. Mon teint naturel dû à des ascendances andalouses me permet d’éviter de rougir comme un coquelicot… Je dois faire de gros efforts (enfin, n’exagérons pas) pour fixer les mains habiles d’Angélique qui arrachent les dernières bandes de cire. La vision de cette peau imberbe à l’intérieur des cuisses me fait frissonner : comme j’aimerais y promener mes doigts, ou mieux encore, mes lèvres pour en apprécier la douceur !
Angélique entame un travail de finition à la pince à épiler, se concentrant surtout au plus près de la fente plus brune du sexe d’où sortent deux fines excroissances ourlées. Je tente de maîtriser ma respiration pour éviter tout signe extérieur trop visible des sentiments (?) qui m’agitent. Si je ne me retenais pas, je bousculerais Angélique pour appliquer mes lèvres sur cette autre bouche qui m’attire comme un ...
... aimant.
Le téléphone sonne dans le magasin. Angélique regarde sa montre. Elle sait que c’est l’heure à laquelle sa fille l’appelle. Elle me propose de passer l’huile apaisante sur… les zones qui viennent d’être épilées et elle sort sans attendre ma réponse.
La panique me gagne. J’attrape tant bien que mal le flacon placé sur une étagère.
La cliente doit être tout aussi surprise que moi, mais je n’ose pas croiser son regard. Elle a, dans un réflexe de pudeur compréhensible, rapproché ses jambes et posé une main sur son sexe. Trop tard ! Je ne peux pas reculer : les ordres de ma patronne sont clairs, je DOIS le faire !
Je prends avec autorité, mais sans brutalité, la main que je ramène le long du corps. Toujours avec autorité et en essayant de ne pas montrer mon trouble, j’écarte doucement les genoux.
Me voilà à l’œuvre. Je répands le liquide apaisant puis je masse doucement les endroits où une rougeur indique le passage d’Angélique. Mon regard, lui, dévie sans arrêt sur ce sexe magnifique : je ne me lasse pas de ce spectacle. Je crois même le voir vivre, et il me semble le sentir s’humidifier. Mais c’est peut-être un effet de mon imagination. Ma main droite ne m’obéit pas plus que mon regard et, insensiblement, elle se rapproche de l’endroit « stratégique ».
En déplaçant ma main, mon poignet effleure le haut de la fente. J’ai peur d’être allé trop loin. Je m’attends à une réaction de recul, peut-être même une protestation. Rien. Mais il me semble que la respiration ...