1. La bourgeoise et ses amants. (4)


    Datte: 20/06/2018, Catégories: Erotique, Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... langue s’insinue de nouveau dans ma chatte mais bien plus profondément cette fois-ci. J’aime la fougue de ce jeune étalon qui me dévore avec entrain tout en veillant à me maintenir les cuisses grandes ouvertes. Il se relève, j’entends le zip de sa combinaison puis son gland vient cogner contre mes jambes. Ses mains se saisissent de mes hanches, je me penche un peu plus en avant pour mieux lui tendre ma croupe. Il poursuit ses commentaires de mécanicien
    
    — Je n’ai rien trouvé d’anormal mais je pense qu’un bon coup de lubrifiant ne peut pas faire de mal.
    
    Il est bien monté le gaillard et son énorme gland a un peu de mal à se frayer un chemin. Mais lentement, par petits coups de bas-ventre bien appuyés, mes chairs se distendent lentement et son énorme burette arrive à me pénétrer. Une fois bien calé au fond de moi, il s’immobile un peu et se met à me pétrir les seins.
    
    — Superbe châssis et jolie carrosserie !
    
    me dit-il avant de reprendre ses va-et-vient en moi.
    
    Je lui réponds
    
    — Oui mais comme toutes les voitures qui ont déjà fait un tour de compteur, il me faut une révision régulière.
    
    Il me besogne de plus en plus fort et il ahane en soufflant sur ma nuque. J’adore son énorme queue qui me ramone et me possède ...
    ... entièrement.
    
    Soudain, sa respiration s’accélère, son gland me semble plus gros, ses mains m’emprisonnent de nouveau les hanches et il ressort entièrement de ma chatte pour mieux y replonger ensuite. Le voici qui s’immobilise et se raidit. Je m’appuie un peu plus fort sur l’établi pour mieux résister à la poussée de mon assaillant. Je me cambre, je bombe la poitrine, je tends ma croupe, je gémis et je jouis. Nicolas me dit que je suis une sacrée salope, une vraie petite pute et il se répand en moi. Je ne bouge pas, je le laisse déverser en moi son trop plein de testostérone et de foutre. Il bouge encore en moi, mais plus lentement, pour bien se vider. Lorsqu’il se retire, un peu de semence coule le long de mes jambes. Je remets ma robe, lui remonte et ferme son bleu de travail.
    
    Lorsque je lui demande combien je dois payer pour la réparation de ma voiture, il me répond en souriant
    
    — Ne vous inquiétez pas. Je dirai au patron que cela ne m’a pris que cinq minutes pour réparer.
    
    Je le remercie bien fort en l’embrassant longuement sur la bouche et en lui permettant ainsi de me caresser une ultime fois les fesses.
    
    Je remonte en voiture et reprends la route. La climatisation fonctionne à merveille. Moi je suis encore bien chaude et moite sous ma robe... 
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