1. La descente aux enfers d'une veuve 6 (5)


    Datte: 20/06/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: sexag, Source: Xstory

    Nous sommes donc lundi. Il est l’heure d’embaucher chez Clotilde. Toute la nuit, Annie n’a eu de cesse de se repasser le film de sa nouvelle vie de débauche depuis son opposition formelle, mais réelle dans sa tête eu égard à sa religion, aux avances et agressions de sa patronne, sa «confession» avec le Père Dubois, jusqu’à sa rencontre hier de la femme de l’église « Cindy » en passant par sa lente acceptation, voire le désir de plaisirs nouveaux.
    
    A 15h précises, comme à l’accoutumée, elle sonne au portail de la villa. Mme Clotilde qui l’avait vue arriver ouvre sans répondre.
    
    — Bonjour, Nini, as-tu passé un bon dimanche ?
    
    — Oui Madame, maintenant que je suis libre avec vous, je peux vous dire que j’ai rencontré, hier à l’église, une femme qui m’a abordée me trouvant très sexy, elle m’a fait des compliments sur mes gros seins, nous avons discuté très librement. Elle m’a paru particulièrement salope, car elle m’a dit rechercher les endroits insolites pour s’envoyer en l’air. J’avais essayé de capter le Père Dubois après la messe, mais il n’était pas libre et c’est en partant que je me suis fait accoster par Cindy, c’est son prénom.
    
    — Vous vous êtes caressées ?
    
    — Non, j’ai à peine aperçu une poitrine qui m’a paru désirable avec des tétons dressés marquant son corsage, elle aussi devait s’absenter, elle n’était pas libre sur le moment, pourtant l’église fait partie de ces lieux insolites qu’elle recherche. Je n’ai même pas eu le temps de lui monter que je mouillais ...
    ... tant ses paroles m’avaient excitée.
    
    — Eh bien, tu en as des choses à me raconter. Ta «confession, s.
    
    « Pour le Père Dubois, c’est assez simple. C’est en lui confessant les détails de ma relation avec vous, sans lui dire qui vous étiez, que j’ai vu son excitation. Il m’a fait des compliments sur mon corps et a voulu que je lui montre la parure que vous m’avez offerte, et comme j’étais assise devant lui dans une posture, je l’avoue, un peu provocante, il a remarqué que je n’avais pas de culotte. Il n’a pu résister à me demander d’en voir plus. Nous nous sommes rapprochés, puis dans une étreinte passionnée, le Père a fait glisser ma jupe à terre, j’ai ouvert son pantalon, et devant son imposant membre bien tendu, je ne me suis pas retenue et nous avons baisé.
    
    Pour Cindy. C’est plus compliqué. J’étais tellement déçue de n’avoir pu me « confesser » à nouveau avec le Père Dubois qu’en me rappelant la chanson de Brassens « Mélanie » qui se faisait jouir avec des cierges, j’en ai acheté trois, et je suis allée me branler dans le confessionnal. Mes multiples jouissances étaient tellement fortes, que quand je suis sorti, Cindy m’a accrochée en me disant qu’elle avait tout entendu et qu’elle avait deviné mon petit jeu. C’est là qu’elle m’a dit rechercher les endroits insolites pour se faire jouir ou se faire prendre de toutes les manières possibles. Elle m’a laissé son numéro de tél. au cas où je voudrais la retrouver. »
    
    — C’est bien ma petite Nini de ne rien me cacher, car ...
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