1. Métamorphose


    Datte: 20/06/2018, Catégories: f, fh, couple, nympho, vacances, Oral fdanus, journal, Auteur: Karine2x, Source: Revebebe

    ... décollage passe obligatoirement par mon petit bouton. Quand ce n’est pas lui qui s’en occupe, c’est moi.
    
    C’est comme ça ! Je m’appelle Clito, comme une majorité de femmes.
    
    Par contre le résultat est maintenant garanti.
    
    Vous, les filles qui peinez à jouir : un conseil (Vous allez voir que je ne suis pas avare de conseils à la noix). Soyez décontractée, laissez parler votre côté animal, et surtout… n’ayez pas peur de vous caresser vous-même tout le temps nécessaire si votre partenaire ne le fait pas. Trouvez une position adéquate pour le faire. Envoyez-vous vous-même au septième ciel, il saura comment faire la prochaine fois.
    
    Nous n’avons loué notre villa qu’une dizaine de jours, finances obligent. Nous décidons de ne pas repartir camper en montagne comme prévu, mais de renter à chez nous dans un Paris désert, juste peuplé de touristes, à nous balader en amoureux entre deux câlins.
    
    Deviendrais-je nympho ?
    
    — Depuis que je te saute sans arrêt, j’ai perdu trois kilos, m’annonce Pierre, un matin. Tu m’épuises.
    — Moi j’ai plutôt tendance à en prendre, ça me donne faim, répondis-je en riant.
    — En fait, c’est un sport comme un autre, constate-t-il.
    — Tu manquais d’entraînement par ma faute. Mais maintenant, je vais te maintenir au top, mon Chéri. Régime sportif, vitaminé et légèrement aphrodisiaque. Ça te va ?
    
    Septembre. Finies les vacances.
    
    Mais notre fringale sexuelle ne retombe pas.
    
    Comment expliquer qu’après trois ans de vie commune nous puissions ...
    ... vivre une telle passion dévorante ?
    
    C’est simple : pour moi, le sexe est une vraie découverte, pour lui, c’est son rêve qui se réalise. Sa Karine est devenue chaude, brûlante. Nous baisons, c’est le terme exact, n’importe quand, le matin au réveil si nous avons le temps, sinon quand ça nous prend, quand il rentre du bureau, emportés par notre gros baiser baveux, après le dîner (finie la télé à la con), le soir au lit et n’importe où : lit, table, chaise, fauteuil, canapé, par terre sur le tapis, debout contre le mur, nue, habillée, sous la douche, même une fois pendant mes ragnagnas (À ne pas recommencer, ça me coince).
    
    Pour ne rien vous cacher, il m’arrive aussi de me… masturber en pleine nuit ou au petit matin alors que Pierre dort encore.
    
    Me masturber. L’horrible mot. Je préfère dire que je fais l’amour avec moi-même.
    
    Grave, Docteur ?
    
    Cela m’est égal. Je n’ai pas honte. Je suis sûre qu’il n’y a pas de mal à se donner du plaisir. En fait, j’apprends à connaître mon sexe. Avec un ou deux doigts enduits de salive sur mon clito et deux autres pour me pénétrer, je m’envoie en l’air facilement.
    
    Dire qu’il y a des femmes excisées.
    
    Je sais, moi, comment faire. Il suffit d’examiner les petites filles et si elles le sont, on coupe tout à leur papa. Œil pour œil, dent pour dent, sexe pour sexe. Coutume ancestrale éradiquée en moins d’un an.
    
    Tout en méditant de la sorte, je me caresse… ça vient…
    
    Mon chéri, excuse-moi. Je fais l’amour avec moi-même car comme ...
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