1. Adeline petite soeur (2)


    Datte: 20/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: ADRIEN74, Source: Xstory

    ... voilà, c’est fait. » Me remerciant, et sans que cela fasse ciller ma mère le moins du monde, elle replaça son pied entre mes jambes le temps du repas. Nos regards coquins se croisaient de temps à autres et la soirée qui se profilait prenait une tournure des plus chaudes. Notre mère alla se coucher rapidement, comme presque chaque soir, anéanti par les heures infernales de son boulot.
    
    Je regardais la télé quand Adeline descendit en nuisette. Si je l’avais déjà vue dans cette tenue, elle portait souvent un peignoir par-dessus, ou au moins une culotte. Là, au risque de croiser notre mère, d’être surprise dans une tenue qui ne laissait pas de doute quant à son état d’esprit, elle s’assit de nouveau sur moi et me lança comme un défi : « fais-moi l’amour, là, maintenant, je n’en peux plus d’attendre.
    
    — Mais tu n’es pas bien ! Imagine que... »
    
    Je ne pus terminer ma phrase car elle baissa mon caleçon aussitôt, dressa l’objet de son désir de quelques coups habiles de poignets et se l’enfila directement sans même me demander mon avis. J’avais abandonné toute illusion personnelle à me convaincre que ce n’était pas l’endroit, et le risque devant faire partie de ...
    ... notre quotidien dorénavant, autant s’y habituer. Mais ne souhaitant vraiment pas que notre mère nous entende, je posais ma main sur la bouche de ma sœur. Elle se démenait comme une furie sur moi, et franchement, c’était un délice. Je décidais de l’allonger sur le canapé, et, relevant ses jambes en arrière, la pénétrait de nouveau avec cette même fougue dont elle avait fait montre. Elle attrapa d’emblée un coussin pour étouffer ses gémissements, mais je le lui retirais en murmurant: « Lève la tête ma puce, et regarde ! »
    
    Adeline parut subjuguée par cette vision s’offrant à elle. Elle mouillait de plus en plus et l’on entendait presque plus le « floc-floc » (c’est sa propre expression), produit par nos deux sexes que le bruit de la télé. Elle ne releva la tête que pour me regarder droit dans les yeux alors qu’elle fut terrassée par l’orgasme tant attendu. Elle était au bord des larmes, de joie cette fois, et serrait les lèvres pour ne pas crier son plaisir. Quand je lâchais à mon tour le jus tant attendu, nous continuâmes de nous fixer. C’était magique, intense et incroyablement sensuel. J’aurais pu me noyer dans son regard ce jour-là, je m’y suis noyé depuis... 
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