Ma mère et moi : plaisirs charnels
Datte: 20/06/2018,
Catégories:
Mature,
Première fois
Hardcore,
Auteur: VicentH178090, Source: xHamster
... ses bras, avec les tétons touchant presque le sol ; elle balança son torse pour que ses nichons ballottent devant mon regard excité. Elle les caressa et les tritura en se pinçant les mamelons, en gémissant :
— Tu aimes, mon chéri ? Tu aimes ta cochonne de mère faire tout cela devant toi et pour toi ? Tu peux employer des mots crus et cochons pour me le dire, si cela t'excite, mon fils pervers !
Je ne pus me retenir de crier des propos crus :
— Oh oui, maman ! Tu es une vraie cochonne de mère qui fait bander son fils ! Regarde ma bite qui gonfle quand je te vois dans cette position ! Tu es belle, tu es excitante, tu es ma vraie poufiasse de maman ! (Chers lecteurs, sachez que nos excitations sexuelles, à ma mère et moi, nous poussaient à dire des mots crus et même cochons... Vous le constaterez dans la suite de ce récit...)
— Oui, bande et branle ta grosse bite en me regardant, mon fils ! J'aime ton langage cru ! Il m'excite ! Nous sommes fous, lubriques, pervers et dépravés. Je vais te donner du plaisir en te montrant les parties les plus intimes de mon corps !
Ce n'était pas possible, elle ne pouvait pas avoir de telles idées, ce genre de fantasmes entre une mère et son fils, c'était pour les pervers, les dérangés d'esprit. C'était sans doute sa longue abstinence sexuelle, cumulée à la récente vision de mon corps qui avait déclenché ce délire érotique.
Elle fit un quart de tour dans la même position en levrette et, en fixant ma pine grossissante que je ...
... branlais, elle me dit :
— Troisième partie ! Regarde mon fils, ta cochonne de mère se montre de profil maintenant ; aimes-tu la vue de mes seins pendants ? Je vais frotter leurs bouts sur le tapis pour les faire s'ériger un peu. Vois-tu la courbure de mon dos, celle de mes fesses ? Aimes-tu le galbe de mes cuisses, la forme de mes jambes, mon fils ?
— J'adore, maman ! crié-je
— Encore, laisse toi aller, fais-moi plaisir ! Tu es belle à mourir ! Fais encore un quart de tour dans cette position et montre-moi ton cul !
Elle s'exécuta pour mon plus grand plaisir. Comme je l'ai déjà décrit, ses fesses étaient deux beaux globes blancs, rebondis et de texture satinée. Ces globes étaient séparés par une raie sombre aux parois tapissées d'un léger duvet foncé. Au milieu de cette dernière et dans cette position, son petit trou brun entouré d'une corolle rose et plissée se voyait mieux et m'excitait à fond. Mon excitation s'amplifia encore lorsqu'elle écarta les fesses de ses deux mains pour que je voie encore mieux cette vallée sombre et le petit trou qu'elle révélait. Juste
en-dessous de la raie de son cul, se voyait la fente de sa chatte ornée de sa touffe brune. Comme ses cuisses étaient écartées, je vis, pour mon plus grand bonheur, les lèvres de sa vulve distendue et son petit clito rose érigé. Les lèvres avaient la forme de deux morceaux de chair plissée pendouillant entre le haut de ses cuisses. Une vue paradisiaque !
— Oh maman, quel délice ! Quelle croupe ...