1. Fatalisme : M.A.K my life… ou presque XV


    Datte: 19/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: ANDRERP95, Source: Hds

    ... vraiment à la maison. Ce fût un beau réveillon.
    
    Sauf que de retour chez nous, après avoir couché les enfants, nous retrouvons Mathieu qui revient de chez une de ses meufs. Les deux garçons hilares tendent à Margot son cadeau de Noël.
    
    Margot ravie ouvre le paquet pour découvrir une ceinture god.
    
    J’étais effaré, Margot déconcertée et eux riaient aux éclats comme des gamins qui ont fait un bon tour.
    
    - Avec ça ma Gazelle tu seras l’homme de la maison….
    
    - Et en plus on peut mettre un double god ajoute Mathieu, un pour lui et un pour toi… Tu vas pourvoir jouir en baisant ton mec. Aller on vous laisse. Amusez-vous bien les amoureux.
    
    Ils filent à regret. Les enfants sont là. C’est Noël.
    
    Margot perplexe range son cadeau dans la commode.
    
    - C’est vraiment des gamins… C’est un drôle de cadeau.
    
    Nous nous préparons en silence pour la nuit.
    
    - Non Didou ne mets pas de pyjama, j’aimerais te sentir contre moi. Je veux pas être loin de toi la nuit de Noël.
    
    Elle ajoute en riant
    
    - Mais demain on met vite des fringues avant que les petits monstres déboulent nous ...
    ... réveiller. Viens Chéri serre moi fort.
    
    Nous nous endormons nus l’un contre l’autre.
    
    Je prends cela comme un cadeau de Noël.
    
    oooOOOooo
    
    Kemb a été avec nous en famille, le dimanche de la galette des rois et deux autres dimanches. C’était vite devenu une habitude. Ma mère le trouvait de bonne facture comme elle dit. Elle était la seule à comprendre son rôle chez nous. Personne ne trouvait à redire sur sa présence dans la famille.
    
    Heureusement personne ne connaissait non plus les relations réelles entre nous, ni le pouvoir qu’il exerçait sur notre couple. Et aucun membre de la famille ne pouvait imaginer qu’il nous baisait à volonté et que mon anus était comme une chatte supplémentaire à la disposition de cette queue toute puissante.
    
    Que diraient toutes ces personnes d’une bourgeoisie si respectable si elles découvraient que nous étions sans slip ni caleçon, qu’il restait encore des traces de spermes au fond du sexe de Margot, que mon haleine sentait encore les fluides corporels de l’amant, ou que j’avais l’anus encore dilaté, d’avoir porté le plugg toute la matinée. 
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