1. La vie de Besson bascule


    Datte: 19/06/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Tayyip, Source: Hds

    ... forme physique éblouissante...
    
    Objets utilisables à discrétion elles sont toujours disponibles.
    
    C'est ce que les clients attendent et ce à quoi ils ont droit et pour le prix qu'ils paient, ils en ont pour leur argent...
    
    L'hacienda
    
    A l'écart de la somptueuse demeure, des pavillons blancs regroupant palefreniers, serviteurs et les cellules de séjour pour les filles avec les box pour leur dressage. Dans les couloirs entre les cellules des pénitentes nues, geignantes, suspendues comme des jambons, pour l'exemple, par les mains à un anneau solidement fixé aux poutres, balancent lentement, touchant le plancher de la pointe des pieds… battues ou en attente de l'être... les pénitences sont infligées pour éprouver l'obéissance.
    
    Certaines attendent d'être utilisées, le cul rougi par les coups de cravache, d'autres destinées aux plaisir pervers sont harnachées en animal de ferme, truies à quatre pattes avec des fers au bout des mains, une cagoule pour transformer le visage en groin, vaches avec des pis énormes, une suceuse fixée sur les mamelons gonflés sont à la traite pour la production de lait pour la nurserie. Dans les couloirs, aveuglées par un bandeau sur les yeux, des garces sont attachées par les bras retournés dans le dos, levés haut, les cuisses écartées de façon à bien présenter leur croupe, un gode de taille imposante fiché dans le cul, souvent un autre est enfoncé dans le vagin, attendent les bons vouloir de Doña Aimara ou Pedro.
    
    Dans ces pavillons ...
    ... aussi, le casernement pour la garde chargée de la sécurité et de l'entretien du domaine, sous les ordres d’une implacable mère maquerelle, à la voix terrifiante, Doña Aimara, l'âme damnée de Zúñiga di Miranda. Elle porte en permanence un très court fouet et est toujours accompagnée d'un magnifique dogue allemand que toutes les filles redoutent...
    
    Le rôle de Doña Aimara,est de diriger d'une main de fer la garde, composée d'impressionnants surveillants noirs, de magnifiques hommes, grands, musclés, sans une gramme de graisse, embauchés en Afrique, la peau luisante, vêtus d'une sorte d’uniforme composé d’un pagne sous lequel ils sont nus, d'une trique à la ceinture, le privilège de pouvoir fouetter n’importe quelle femelle et d’un turban, leur simple vue fait frisonner...
    
    Doña Aimara avec Pedro, son homme à tout faire, est aussi là pour éduquer les femelles, habituer les culs et les moules à d'énormes bites mais aussi préparer les corps pour qu'ils plaisent à leurs futurs propriétaires et surtout à leurs innombrables futurs clients. Elle est aussi là pour les entrainer, les faire travailler, car la vie à l'hacienda n'est pas de tout repos, les discipliner, contrôler leur rentabilité, les faire féconder, surveiller les gestations et... leur en faire baver...
    
    À l’écart, au fond de la propriété, une estrade pour les mises à prix et des enclos pour parquer des femelles trop âgées et mises au rebut avant leur commercialisation. Les filles sont présentées nues, un collier leur ...
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