1. Petit cinéma


    Datte: 19/06/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, cinéma, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, fsodo, totalsexe, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... de supporter ce pilonnage en règle. Il y a franchement quelque chose d’ultra jouissif et de bestial en même temps dans cette pratique de la porte des artistes, surtout pratiquée telle que je la vois ! Le sadomasochisme a du bon, surtout en fonction du côté du manche où on se trouve ! Si elle aime ça, tant mieux pour elle… mais je présume que ce type de femme ne doit pas être répandu parmi ses consœurs…
    
    Avec des petits cris de souris, elle jouit dans mille soubresauts. D’une voix plus sourde, il en fait de même, se vidant en elle sans vergogne. J’imagine sans peine son foutre remplir les sombres entrailles de cette belle garce, apposant sa marque en elle.
    
    Vaincue, elle s’avachie sur le fauteuil rouge. De son côté, il reprend son souffle, toujours planté en elle, à l’étroit. Puis il se retire, victorieux, s’adressant à moi, un peu essoufflé :
    
    — C’est une s-sacrée bonne s-salope ! Les meilleures, celles qui se font enculer, comme si c’était naturel !
    — Comment vous avez su que c’était possible avec elle ?
    
    Du bout du doigt, il désigne son nez :
    
    — L’intuition, mon ami, l’intuition. Et l’expérience aussi…
    — Vous avez l’habitude de ce genre de… de séance ?
    — Habitude ? C’est un bien grand mot. Disons que, depuis quelques années, j’ai jeté mes complexes par-dessus les moulins, et que j’essaye de profiter pleinement de la vie. Exemple, cette femelle que vous avez sous les yeux.
    
    La femme est toujours avachie sur son fauteuil, dans un demi-sommeil. Ses cuisses sont ...
    ... maculées de foutre, et son petit trou à demi dilaté laisse s’échapper un léger filet blanchâtre. Voyant cela, je me demande si cette poufiasse s’était fait un lavement pour avoir le fion aussi propre. Je ne serais pas étonné que ce soit le cas.
    
    Mes yeux sont rivés sur son entrée des artistes rougie sous le récent pilonnage. Une voix un peu moqueuse et feutrée s’élève à mon oreille :
    
    — On dirait que vous êtes fasciné par son petit trou, je me trompe ?
    — Euh… disons que…
    — Que vous aimeriez bien y faire un petit tour, non ?
    — Je ne dirais pas non…
    
    Il pose sa marge main sur la fesse offerte :
    
    — Pourquoi se gêner ? De plus, la voie est déjà déblayée.
    — Là, comme ça, maintenant ?
    — Carpe diem, vous connaissez ce proverbe latin ? Agissez comme si aujourd’hui était le dernier jour de votre vie, afin de ne pas avoir de regrets.
    — C’est plus facile à dire qu’à faire…
    
    Sans complexe, il tapote sur la fesse blanche gainée d’un porte-jarretelles :
    
    — Cette femme est faite pour ça, on le devine à ses vêtements, sa lingerie et sa docilité. Je parie que c’était un jeu entre vous et son homme, je me trompe ?
    
    Hochant de la tête, je confirme :
    
    — Oui, c’était un rendez-vous convenu, un prêt, en quelque sorte. Je m’attendais à ce que son mari soit ici, mais ça ne semble pas être le cas.
    — Peu importe qu’il soit là ou pas ; le prêt n’est pas fini, je suppose…
    — Euh, non…
    
    Il relève un peu la fesse blanche pour me dévoiler mieux encore un petit trou sombre qui reste ...
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