Petit cinéma - Histoires de Sexe

Petit cinéma

... vous astiquer la nouille.

Je suis étonné de cette réaction à laquelle je ne m’attendais pas. Je devine confusément que ce type aime jouer, et qu’il sait qu’il peut toujours reprendre la main quand il veut. Il s’adresse à celle qui lui procure une belle fellation depuis quelques instants :

— Vous pratiquez un beau service, on sent que vous avez de la pratique dans l’art de la sucette. Vous allez me faire le plaisir de faire la même chose à la queue de Monsieur. Agenouillez-vous devant lui, et faites-lui voir que vous êtes une suceuse de première !

Elle ôte la verge qu’elle était en train de choyer pour répondre avec hésitation :

— Euh, je… il faut que…

Sans se départir de son flegme, il change alors de ton, devenant nettement plus dominateur :

— Qui es-tu, petite pute ? N’es-tu pas une grosse salope qui aime lever des hommes, les aguicher, les exciter ?

Un peu dépassée par la tournure des événements, elle proteste mollement :

— Euh si… mais ce n’était pas prévu comme ça !
— Dans la vie, il y a parfois des imprévus, j’en suis un, et puisque tu aimes jouer, je vais t’offrir un scénario inattendu. Je suis ton maître, tu es ma chose, tu exécutes mes ordres, point barre. Et ma première volonté est que tu t’agenouilles devant ce type et que tu le suces jusqu’à ce qu’il jute dans ta bouche.

Comme vaincue et subjuguée, elle répond docilement :

— Euh… oui, très bien, Monsieur…
— Et bien sûr, tu avaleras, comme le font toutes les putes dans ton genre.
— ...

... Oui, Monsieur…

Agenouillée entre mes jambes, elle me fait une fellation d’enfer, à laquelle je sens que je ne vais pas résister longtemps ! Elle sait admirablement jouer de la langue, alterner caresses et succions, dorloter, câliner, aspirer. S’il existe quelque part une université de la pipe, elle a dû en sortir première ou deuxième de sa promotion ! En un rien de temps, j’éjacule dans cette belle bouche de pute, me vidant à fond, tapissant sa langue de mon sperme chaud et gluant. En bonne cochonne qu’elle est, à ma grande satisfaction, elle avale méthodiquement tous les jets que je lui envoie. Dommage que mes couilles ne soient pas plus grosses, j’aurais aimé de la remplir jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus tenir le flot !

À travers le brouillard dans lequel je flotte, j’entends la voix du type énoncer calmement :

— Très bien ! Tu as agis en parfaite salope. Maintenant, agenouille-toi sur le fauteuil et présente-moi bien mon cul et ta chatte !
— Oui, Monsieur…

Elle délaisse ma bite avachie, tandis qu’elle s’agenouille sur le fauteuil à l’instigation de mon comparse, puis se met à quatre pattes, mettant en relief son cul un peu large mais aguichant. Ceci fait, celui qui se prétend son maître ne s’embarrasse pas de circonvolution, il pénètre dans sa chatte sans effort, et commence un pistonnage dantesque, la secouant comme un prunier ! Au début, elle gémit sourdement sous cet assaut, puis elle glapit de plus en plus précipitamment, toujours de façon feutrée, sans ...