Petit cinéma - Histoires de Sexe

Petit cinéma

... me charger de cyprine, je taquine son clitoris exacerbé, elle frémit sous mes caresses insidieuses.

Ses soupirs deviennent de plus en plus intenses, couverts par la scène d’action bruyante qui se déroule à l’écran. Elle se met à me caresser le sexe par-dessus le tissu de mon pantalon. En retour, mon autre main s’empare d’un sein afin d’en éprouver le galbe et le volume. Constatant qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, j’en profite pour mettre les seins à l’air afin de mieux profiter de ses appas un peu lourds.

Alors les choses s’emballent, et très vite, ma queue se retrouve à l’air libre, capturée et branlée par une main douce et chevronnée. Elle sait aller et venir autour de mon pieu, serrant juste comme il faut, me calottant et me décalottant en tirant et poussant à point. Elle sait bien s’y prendre, ni trop, ni pas assez, graduellement. Ou bien elle est naturellement douée, ou bien c’est une pro. C’est la béatitude, le nirvana avec cette nana !

— On dirait que le film ne vous intéresse pas des masses… Remarquez, je comprends !

Je sursaute ! Par-dessus nos têtes, nonchalamment accoudé aux dossiers, un homme sourit narquoisement. Je crois reconnaître le spectateur brun qui était sur l’avant-dernière rangée. Je l’avais complétement oublié ! Toujours accoudé, l’intrus continue sur sa lancée tout en sifflant dans ses dents :

— Pas de culotte, pas de soutif, des bas avec un porte-jarretelles, Madame joue les salopes, à ce que je vois…

Un peu décontenancé, je ...

... réponds :

— Euh… vous n’y allez pas un peu fort, non ?

Il me répond calmement avec un petit sourire narquois :

— Moi, j’appelle un chat un chat. Et une chatte une chatte.
— C’est une façon de voir…
— C’est tout vu ! Entre nous, entre une bigote folle à la messe, et une salope molle à la fesse, mon choix est très vite fait !
— Je vois que Monsieur a des lettres…

Durant cet échange, ma voisine ne pipe mot, assez passive ; elle semble attendre la suite des événements, sans toutefois lâcher ma bite qu’elle continue à branler avec efficacité. Le nouveau venu s’en aperçoit :

— Et en plus, elle continue de vous masser la nouille. Il n’y a pas à dire ou à redire : c’est une belle salope que nous avons ici, oui, oui !

Je ne sais pas quoi répondre, je me fends d’un lapidaire :

— Ce n’est pas faux !

L’homme se relève, affichant une taille et une corpulence moyennes, puis commence à enjamber les fauteuils qui nous séparent :

— Eh bien, quand il y en a pour un, il y en a aussi pour deux.

Et sans gêne, il s’invite. Il contemple ma partenaire de haut en bas, s’attardant sur ses seins dévoilés aux masses délicatement molles. Puis posément, il s’installe sur le siège libre à côté d’elle qui se retrouve ainsi encadrée par deux hommes. Il se tourne aussitôt vers sa voisine, lui présentant ses salutations :

— Bonjour, chère Madame…
— Euh… bonjour, Monsieur…
— En vous voyant, je me suis dit qu’à deux, c’est bien, mais qu’à trois, c’est mieux.

Sans attendre ...